LE TEMOIN DU SIECLE
Révélations historiques d’un
ex-sioniste sur l’origine d’Israël
Government
is responsible for collecting taxes not the forms of religious worship
practised by the people from whom those taxes where collected.
"All
wars are economic in their origin." So much for religious and political
disagreements, which had been specially touted as the cause of wars.*
Bernard Baruch, testifying before the Nye
Committee on September 13, 1937,
Benjamin
H.Freedman
Traduction
et préface de
Rachid
B.Belarbi
PréfacE
William L.Shirrer, en citant Santayana avait écrit dans le
livre Le troisième Reich (1), que
ceux qui oublient leur histoire sont condamnés à la revivre.
A travers l’histoire, nous apprenons que quand un
événement s’est réalisé plus ou moins loin dans le temps, il nécessite de ce
fait des éléments concrets prouvant sa véracité. Spécialement quand cet événement est sujet à
polémique.
En
géométrie, on sait que plus les références
sont espacées plus le calcul risque d’être faussé. Parallèlement à cela,
si on pouvait imaginer l’histoire comme une science exacte, avec le temps sa
dimension principale qui en physique théorique est porté sur un seul axe, et le
lieu serait représenté par les trois axes des coordonnées spatiales bien
entendu.
Donc, un événement qui se serait déroulé dans l’espace, loin du lieu de
l’observateur qui n’a pas pu le constater, et ne peut donc ni le confirmer
aveuglement, comme il ne peut en aucun cas affirmer que cet événement ne s’est
pas réalisé, juste parce que ne l’ayant pas vu se déroulé.
Donc la non observation n’implique pas la non existence ; Il est juste caution à plus d’analyse.
Analogiquement, un événement qui se serait passé très loin
dans le temps, nécessite plus de preuve et serait analysé avec plus de critère
; mais en aucun cas il pourrait être réfuté sur la base qu’il s’était déroulé
loin dans le passé, ou bien que peu de gens l’aient observé.
En conclusion, l’existence ou non d’un événement dans le
temps et l’espace nécessite une démonstration rationnelle qui l’authentifie, en
d’autres termes, qui puisse prouver le rapport existant entre cet événement
avec les deux paramètres du temps et de
l’espace, et si et seulement si, les deux paramètres existent.
Et
c’est là que l’histoire et la géographie se rejoignent, et s’identifient à la même conclusion qui est
la notion de preuve logique.
D’autant plus que, si ce dit événement fut élaboré juste
par une élite, seule à connaître ses causes et à prévoir ses effets, dans
l’unique but de servir ses intérêts propres.
L’événement en question est la naissance d’un pays
reposant sur des concepts ethnico religieux qui défient toute logique et tout
raisonnement. Le pays en question est l’état sioniste d’Israël, qui existe au
lieu de vivre, qui naquit comme il disparaîtra, dans un plasma de feu de sang
et de fer. Qui a fait de sa naissance la mort de tout ce qui gravite autours.
Un pays qui n’a pas de limite géographique précise et qu’il change et agrandit
à volonté ; un pays qui ne juge pas utile d’avoir une quelconque constitution
mais seulement des lois
ségrégationnistes et racistes.
A quel degré une chose serait t’elle sacrée pour pouvoir justifier la
mort de toute une partie de l’humanité. A quelle dieu fait t-on face pour pouvoir déclencher deux guerres
mondiales et au besoin d’une troisième pour établir un pays reposant soi disant
sur une bible corrigée et une foi réformée. Quel droit ancestral privilégie le
désir égoïste de seule une élite illégitime d’arriviste, surclassant tous les vœux d’un monde qui ne
recherche que la pérennité.
En quoi, et même pourquoi, croyons-nous, si notre dieu est prétexte à la
désolation et au mensonge. Tous ces éléments ont pour unique explication non
pas une raison religieuse ou bien politique mais juste une folie
monétaire.
Quelle
que soient sont les raisons de cette césarienne historique qui accoucha d’un
monstre dont les racines remontent au paganisme
babylonien, les effets eux sont
bien vénaux. Le dieu égoïste d’Israël n’a pas
gravé ses commandements dans les écritures saintes mais dans le plan de
domination du nouvel ordre mondial. Comme d’ailleurs il ne trouve pas ses
préceptes dans l’ancien testament mais dans les banques européennes et dans les
spéculations boursières de la ’’city’’ londonienne. Cette religion de
l’intérêt, qui trouvant à ses yeux que la parole divine ne servait pas ses envies, les effaça simplement ; et
changea le verbe conformément à son dessein.
Le Judaïsme orthodoxe religion monothéiste de plus de deux
mille ans est le représentant de la religion Abrahamique léguée par le Prophète
Moise (que la paix soit sur lui) ; et qui dans l’ancien testament, définit Sion
(dont les sionistes prétendent s’inspiré) comme étant un niveau spirituel de rédemption,
accessibles seulement après l’avènement du Messie.
Par ailleurs, le Judaïsme Orthodoxe interdit, toujours selon le vieux
testament, toute notion de pays à limite géographique et de définition politique, avant l’avènement du Messie
(2).
Par définition aussi, comme l’a enseigné le Prophète David (que la paix
soit sur lui,) Sion, doit aussi être
appliquée sur toute la terre pour toute l’humanité, et serait donc une forme de
Paix universelle (3).Toujours par définition, Sion, cet état de fraternité
entre tous les Hommes ne verra le jour qu’après la venue de Messie. Car
évidement le judaïsme contrairement à l’Islam et à la chrétienté ne voit pas en
Jésus, ’’le Messie’’ (que la paix soit sur lui,) et donc, l’attend toujours. Ce
Judaïsme Orthodoxe, fut jugée trop apathique, trop philosophique, et du être
’’réformée’’ par la fameuse maison d’édition The Oxford Press
appartenant à la famille Rothschild de Londres. On vit depuis le 19ieme siècle
donc, une nouvelle édition du vieux testament plus musclé et plus belliqueux.
La bible « King James version » jugée pas assez
explicite pour enflammer les cœurs et les corps des fervents chrétiens afin de
les envoyer dans la mêlée, fut simplement corrigée par un révérend d’empreint,
Scoffield, sous la coordination et la bénédiction agnostique d’un avocat
sioniste, Samuel Untermeyer. Aucun enseignement du Christ et rien dans le
christianisme ne permet le génocide et l’exploitation d’une nation pauvre par
une élite quasiment adoratrice de ses intérêts matériels.
Le
vieux testament, livre sacré pour le Judaïsme et le nouveau testament, écriture
sainte pour le christianisme, ont subit des corrections successives depuis un
siècle.
Ces modifications et retouches n’ont eu pour but, que de peindre l’état
d’Israël en une cause religieuse avec un but divin et la seule place pour un futur
sacrifice que les croyants juifs et chrétiens voulant accéder au Paradis
doivent effectuer. On peut trouver depuis, des notions qui n’existaient pas
dans les versions originales ; comme par exemple les mots ’’Nation d’Israël’’
au lieu de tribus d’Israël, la bataille très succincte d’Armaggedon qui ne
dépassait pas une phrase dans le chapitre de l’Apocalypse, se changea en un conflit politico religieux
et devenait la pierre d’édifice du sionisme pseudo juif, et soi disant
chrétien. Le paradoxe et le comble du ridicule veulent que deux confessions
paisibles mais que tout sépare doivent s’unir pour combattre le mal, qui ici
est synonyme d’Islam. Mais l’histoire devient encore plus hilarante à la fin,
quand il s’agira de faire disparaître une des deux. Car le scénario
Rocambolesque de cette stupide divine comédie de fin des temps, veut que durant
cette bataille d’Armaggedon, les juifs doivent devenir chrétien ou seront
consumés par les flammes de l’enfer.
Le
but était très simple, changer les peuples et les pensées, usant du sacré s’il
y a lieu, afin qu’ils servent au mieux les intérêts de base d’une minorité perchée
tout en haut de la pyramide. Le
changement se fait comme dans un atelier de confection d’habit, où tout ce qui
dépasse serait coupé, tout ce qui ne se plie pas serait repassé, et s’il manque
une pièce à une partie, on pourrait toujours en rafistoler une autre prise s’il
le faut même d’une chute. C’est là tout le programme d’une élite prête à
tailler un monde sur mesure ; où l’histoire,
les peuples et leur religion, sont remodelés en fonction de ses intérêts
égoïstes et totalement dépourvus de scrupule.
Quel titre de propriété ont les juifs d’aujourd’hui sur ce
qu’ils prétendent être le territoire israélien?
L’idée qu’un peuple puisse posséder quelques sortes de
droits ethnico ancestraux sur un territoire supposé laissé vacant par leurs
’’aïeux’’ quelques millénaires de ça, impliquant un droit perpétuel peut avoir aucune base légale. Autrement, les Américains d’origines européennes, pour ne
citer qu’un groupe de peuple, devront plier bagages.
Selon le Dr Alfred Lilienthal dans son livre The Zionist Connection ; la
population israélienne (ce qui est maintenant Israël et les territoires
occupés, la Cisjordanie, et Gaza) au temps de la Déclaration Balfour en 1917,
atteignait difficilement les 7 pour cent
des 700 000habitants. Le reste était musulman et chrétien Arabes. Au
temps du (les USA dominait l’ONU) vote
de partition en 1947, il y avait seulement quelques 650 000 juifs en Palestine,
alors qu’il y avait 1.3 millions d’autochtones arabes palestiniens, chrétiens
ainsi que musulmans. Sous le plan de partition, 56 pourcent de la Palestine fut
donnée pour la formation d’un état sioniste à un peuple qui ne constituait que 33 pourcent de l’entière population et qui ne possédait
que 6 pourcent du territoire. Ces chiffres n’ont jamais pu être
contestes ».
Mais il y a une autre question, qui plus encore, qui
démontre la question fondamentale de la fondation même du sionisme. Les juifs
ne sont pas, en vérité, les descendants modernes des douze tribus israélites du
vieux testament.
Selon deux historiens du début du vingtième siècle, H.G.Wells et
l’intellectuel et auteur juif hongrois, Arthur Koestler, parmi plusieurs autres
; le peuple connu aujourd’hui sous la détermination ’’Juif’’ sont
principalement les descendants d’une tribu turque dénommée ’’Khazar’’. Les
Khazars n’ont aucune connections historique à la Palestine. Ils se sont
simplement convertis au Judaïsme entre 620 et 740, et n’ont absolument aucune
connections aux israéliens de la Bible ainsi qu’a aucune narrations de la Bible
ou de la terre sainte. Dés l’antiquité on savait que l’origine géographique des
douze tribus d’Israël se situait à Canaan ; aussi que dix des douze tribus
avaient disparu bien avant leur déportation en Babylone. Plus de la moitie des
deux tribus restantes ne retournèrent jamais de l’exil. Ainsi que le massacre
séculaire perpétré par l’occupation romaine était venu à bout des la dernière
communauté judaïque en terre sainte. Koestler, en vérité, dévoua à ce sujet un
livre entier, sous le titre The Thirteen
Tribe (La treizième tribu) -1976 ; Au fait que les juifs originaires
d’Europe de l’Est, plus connu sous le nom d’Ashkenazi juif et représentant à
plus de 96 pourcent de la population juive d’aujourd’hui, sont d’origine
’’Khazar’’.
En d’autres termes racialement parlé, tous les juifs des
temps modernes ne possèdent aucun ancêtre Hébreu, et aucune relation à la
Palestine non plus.
Est-ce que cela importe ?
Est-ce que la paix mondiale importe ?
Est-ce que les droits humains d’un peuple violement
oppressé comptent ?
Est-ce que, quelque chose, à part la comédie, compte ?
Arthur Koestler ne fut en aucun cas le premier à attirer
l’attention sur cette question. Il cite lui-même, des recherches récentes de ce
vingtième siècle, le professeur A.N.Poliak de l’université de Tel-Aviv,
D.M.Dunlop de l’université de Columbia, et J.B.Bury de l’université de
Cambridge. Le courageux commentateur
juif antisioniste Dr Alfred Lilienthal souleva la question il y a cinquante ans
de cela, ainsi qu’il continue toujours à le faire depuis des décennies
maintenant.
Au début des années
vingt, le fameux H.G.Wells dans sa revue populaire Outline Of History,
décrit les juifs comme étant un peuple turque et déclara que ces Khazars, formaient
des grandes colonies de juifs en Pologne et en Russie (Chapitre XXXII/8,) ainsi
que la totalité de ces juifs n’étaient pas originaires de Judée et n’y ont
jamais mis les pieds en terre de Judée.
Le 9 juin 1942, le
secrétaire d’état britannique au Caire, Lord Moyne, déclarait dans la chambre
des Lords, que les juifs n’étaient pas descendants des anciens Hébreux et de ce
fait n’avaient aucune réclamation légitime sur la Terre Sainte. En tant que
partisan de la réglementation de l’émigration vers la Palestine, il fut accusé
d’être un implacable ennemi de l’indépendance hébraïque (p 115. Izaac Zaar. Rescue and
Liberation: America’s part in the birth of Israel. New York. Bloch.1954).
Le 6 Novembre 1944, Lord Moyne fut assassiné au Caire, par deux membres du gang
Stern, dirigé par Ytzak Shamir, qui allait devenir premier ministre israélien.
Cet assassinat ne fut pas la seule de ce genre. En septembre 1948, le Compte
Folke Bernadotte, désigné par l’ONU, comme médiateur entre les colonisateurs
sionistes de la Palestine, et les natifs palestiniens, fut également assassiné
sur l’ordre du même Ytzak Shamir. Le Comte Bernadotte était le chef de la Croix
Rouge suédoise et avait risqué de sa vie pour sauver des millions de juifs lors
de la deuxième guerre mondiale. Ces faits établissent un précèdent à
l’encouragement qu’on les sionistes à
utiliser les assassinats comme solution politique.
La majorité des anciens documents d’évidences existent au
sujet des Khazars, remontant au 9 et
10ieme siècle et même avant ; qu’ils soient d’origine arabe, byzantine,
hébraïque, russe et autres. La
conversion des Khazars au Judaïsme est décrite dans la Correspondance Khazar qui date du dixième siècle, entre Hardai Ibn
Shaprut, le Premier ministre juif du Calife de Cordoba en Espagne, et le roi
des Khazars ; où ce roi trace les origines de son peuple, non à Sem l’ancêtre
des sémites, mais à Japhet, le troisième fils de Noé. Dans le livre de la
Genèse (10 :2,3) on trouve la description des Ashkenazi comme étant les
descendants de Japhet, plutôt que de Sem. En d’autres termes, les juifs ne sont
pas un peuple sémite -mais vu leur mépris et leur haine pour le monde Arabe,
et leurs violentes guerres de
dépossessions contre les Palestiniens- mais plutôt un peuple anti-sémite. Les Khazars, étaient
précédemment bien connu pour être un peuple puissant, et à leur apogée
contrôlaient une trentaine de nations ou tribu (Koestler) ; ils étaient aussi
les maîtres suprêmes du sud-Est de l’Europe pendant plus d’un siècle. La mer
Caspienne est toujours appelée en arabe ’’ Bahr Al Khazar’’ (la mer des
Khazars.)Après leur conversion au Judaïsme, religion principalement basée sur
l’enseignement des Pharisiens et du Talmud ; les Khazars se firent circoncire
et devinrent connus comme ’’ les Khazars juifs’’ en premier temps, puis s’auto
appelèrent simplement ’’Juifs’’.Avant cette conversion la population juive du
territoire entier était éparse, après cela elle devint importante. Des rapports
du dixième siècle du chroniqueur arabe Muqaddasi, on lit : «En Khazaria, mouton, miel et juifs,
existent en grande quantité » (Koestler, p 43).Après avoir été défait par
les ’’Rus’’, autour de 965 A-JC, la puissance khazar se fana et une migration
graduelle commença vers le Nord-est de l’Europe. Le yiddish, dialecte parlé par
les Khazars, est classé comme étant un dialecte européen (allemand et slavonne)
(Koestler VII : 3). La Yarmulke (Kippa) portée par les hommes, pareillement n’a
aucune origine hébraïque.
En 1950, dans le
Time, le journaliste britannique, Douglas Reed, ancien chef correspondant
en Europe centrale, pour ce même journal, déclare : « Les sionistes d’Europe de l’Est
ne sont pas sémites, mais par contre les Arabes le sont. Les juifs n’ont
aucune goutte de sang sémite et leurs aïeux n’ont jamais foulé la terre
palestinienne ».
Le 15 octobre 1947, Benjamin Freedman, écrivit dans The
Economic Council Letter : « Ces juifs d’Europe de l’Est, n’ont ni racial, ni
historique lien non plus avec la Palestine.
Ce sont les descendants directs du peuple Khazar, et
les Khazars ne sont pas sémites. »
Benjamin Freedman
fut alors défié stupidement par un objecteur sioniste. Il invita donc celui qui
le contredit à s’affronter dans la chambre juive de la bibliothèque
new-yorkaise.
Là, il purent consulter ensemble, The Jewish
Encyclopaedia volume I, pp 1-12,
ainsi que toutes les publications d’érudits tels que, Graetz, Dubnow,
Friedlander, Raisin, et de beaucoup d’autres historiens juifs, ainsi que de non
juif, qui ont établis le fait irréfutable ne présentant aucune spéculation sur
ce sujet, (Somewhere South Of Suez, pp 349-350. 1950.)
Toutes ces recherches d’historiens remarquables, n’ont, au
jour d’aujourd’hui, jamais pu être contredits. Confondre les juifs
d’aujourd’hui avec les hébreux de la Bible ; serait comme croire que les
Indiens Cherokee, non seulement sont de religion Hindoue mais doivent un jour
retourner dans la vallée du Gange en Inde.
Même Théodore Herzl, le père officiel mais non officieux du
sionisme se déclarait complètement athée
et n’a accepté les leitmotivs utilisés en ce temps comme :’’le retour du
peuple élu de Dieu ; un peuple sans terre pour une terre sans peuple ; la terre
promise’’ , seulement parce que pensant que ces slogans, comme dans un
phénomène de mode, pourraient jouer le rôle d’un catalyseur dans la
transformation qui pousserait les juifs Ashkenazi à accepter de porter des
habits de bourreau afin de coloniser la Palestine (6). Dans son livre The Rothschilds Fréderick Morton écrit : "Depuis plus d’un
siècle et demi, l’histoire de la Maison Rothschild a été a un degré
exceptionnel la coulisse historique de l’Europe de l’Ouest... Du fait de leur
génie à faire des emprunts non pas à des individus mais plutôt à des nations,
ils en récoltèrent des profits immenses. La fortune des Rothschilds s’érige sur
la banqueroute des nations".
La fameuse, et à tort
étoile de David ; L’Hexagramme, l’étoile aux six cotés, portée par le
drapeau israélien n’a absolument rien à
voir avec la religion judaïque (4). Cette étoile est aussi appelée le sceau de
Salomon mais à tort, car elle est au faite occulte, ainsi qu’elle a été
utilisée dans les anciens rites mystérieux ; est à l’origine était la représentation de dieux païens Moloch,
Asthoreth, et bien d’autres. En vérité cet Hexagramme représentait Saturne.
Cette étoile était considérée l’équivalent du symbole oriental du Ying et du
Yang, qui est un concept satanique d’équilibre entre le bien et le mal. Dans le
Cabalisme qui est une forme de sorcellerie juive, cette étoile représente un
symbole magique. Ce symbole avec la couleur rouge est l’emblème ou sceau des
Rothschild (Roth Shield, sceau rouge, en allemand) représentant leur appartenance au Cabalisme,
et fut porté pour la première fois sur la porte de la maison de Mayer Amschel
Bauer Rothschild, usurier à Frankfort (5).
Aujourd’hui ce sceau est
l’emblème officiel représentant les armoiries de la ville de Frankfurt am Main.
Les Rothschild sont les premiers
utilisateurs de cette étoile à six cotés ; qui d’ailleurs n’était pas considéré
d’origine judaïque avant cela. Le vrai
emblème du Judaïsme est le chandelier à sept bras, la Menura.
Pour preuve, les juifs orthodoxes n’iront jamais servir dans l’armée
israélienne qui occupe la Palestine; simplement parce qu’ils savent que ce
’’soi disant état israélien’’ n’est aucunement le fruit d’un commandement
divin, mais le résultat de l’hybridation entre un calcul athée et une
escroquerie mercantile. Ces orthodoxes juifs possèdent la sagesse qui fait
défaut à la douzaine de ’’ Telé-Evangelist’’ américain du genre Jerry Falwell, Billy James Hargis, Billy Graham, Pat Robertson, qui
attisent le feu en déclarant, que Israël est la nation de Dieu, et qu’il est
nécessaire de mourir pour ce territoire divin.
Quant au christianisme américain il est principalement évangélique (Baptist
Church) qui est l’équivalent de l’église
protestante en Europe.
Dés 1848, Lord Henry Palmerston, chef des services secrets britanniques
et ministre de l’extérieur, mis sur pied The Evangelical Association qui
allait être directement exporté à la jeune nation américaine et qui maintenant
est devenu The National Council of Churches, contrôlant toutes les
églises américaines avec un financement occulte des Rockefeller. Dans
le livre The Rockefellers, écrit par Peter Collier
et David Horowitz, on peut lire en page 155 : « En 1950, The Federal Council Of Churches fusionna avec douze agences protestantes de
missionnaires pour former The
National Council Of Churches, tout
ceci financé par Rockefeller qui y
apportèrent les fonds initiaux dans le but d’avoir une large rangé d’étude pour
des structures organisés de nouveaux groupes, et il leurs donnèrent une grande
parcelle de terrain à cotés de l’église de Riverside pour qu’ils puissent y
battirent leur quartiers généraux ».(20)
Jusqu ‘au jour d’aujourd’hui l’église américaine est sous le contrôle
d’une agence de l’intelligence au service d’un gouvernement dépendant d’un
système financier qui a comme seul but le contrôle des peuples à travers toutes
les forme de pratiques et de moeurs qui le conditionnent. Démontrant ainsi que
la religion elle-même est tombée dans leurs magouilles. Ceci implique que tous
les risques de conflits de religion sont déclenchés principalement dans le but
de les peindre en intégrisme à défaut de les désintégrés ou au pire de les
intégrés ; tout est fonction des intérêts et des étapes.
Tout mouvement ou phénomène historique, aussi important qu’il puisse
être, existe et meut grâce à une forme d’énergie, qui est le système
monétaire. Aucune
forme de gouvernement, depuis le début de l’histoire écrite, ne peut accéder à
l’existence, s’il n’est pas régi par un système monétaire plus ou moins bien
défini. Parallèlement, tout armée ou autre système militaire ne peut évoluer ou
entreprendre une guerre sans être financé par une banque d’état ou privée. Même
un Etat peut être contrôle par des banques privées. De là on peut tirer le
rapport que tant qu’une guerre à besoin d’argent ; le système bancaire est
garant de l’existence de cette armée, et de la continuité d’un éventuel
conflit. Si une armée à besoin d’argent pour aller faire la guerre, quand est
t’il si on a la paix. Cette
banque en question se voit donc à attendre sur le banc de touche (7).
Le sionisme appuyé par des fonds bancaires illimités a,
depuis le judaïsme réformé que cette élite a façonné comme de la pâte à
modeler, su manipuler des millions
d’asiatique Ashkenazi à immigrer en Palestine ; ainsi qu’ils ont adapté le
christianisme revisité en une bible (Scoffield Bible) revue et corrigée par un
révérend défroqué, Scoffield, qui fut
l’esclave financier de Samuel Untermeyer, qui lui par contre fut son nègre
littéraire. De par la même, ils ont su conditionner des millions de chrétiens
principalement les évangélistes américains, à œuvrer dans le but de maintenir
la Palestine sous contrôle israélien. D’où en comprend mieux le phénomène du
sionisme chrétien ; qui fournit en vies humaines et en milliard de Dollar
d’aide pour que la Palestine reste la route des Indes du commerce de la famille
Rothschild.
Quand on place tous ces éléments, ces noms, ces intérêts, ces conditions
; ont filtre comme dans un tube à essai une seule formule ou l’élément actif
mais invisible est une élite de banquiers, où le produit est les ressources
d’énergies et le commerce international, où le catalyseur permettant cette
transformation sont les route les y
menant, à savoir le canal de Suez en particulier et le Moyen Orient en général,
mais aussi des processus intellectuels qui sont, la politique et tous les
mouvements soi disant modernistes. Le produit final de cette réaction à sens
unique, serait l’argent inflationniste
pour l’instant, puis l’Or après la chute du Dollar et la destruction de
toutes les unités monétaires. De cette formule empirique, on peu tirer la
théorie majeure de ce procédé ; n’étant autre que la notion la fin justifie les
moyens. Si on pouvait établir un tableau synoptique de tous les éléments liés à
cet événement ; des situations et des noms récurrents à satiété y
ressortiraient. Tout d’abord le nom d’une élite bancaire ; à leur tête les
Rothschild, quoi qu’étant les plus important, ils ne sont pas les seuls. Depuis
le début du 19ieme siècle, les ’’Roth shield’’, une famille d’anciens usuriers
de Frankfort sont les véritables maîtres de l’Europe, l’invisible clou du
spectacle d’une représentation macabre (8). Puis on remarquerait des phénomènes
de guerres et des situations conflictuelles frappant presque instantanément
toute nation refusant de laisser ces banquiers
les diriger ; où la paupérisation sociale orchestrée à distance contraint les
peuples à une forme d’esclavage moderne en les faisant succomber à tous les
extrêmes, que même l’antiquité n’avait pas connu.
Ensuite des personnalités de scène et de comédie et à leur tête, Samuel
Untermeyer, président de la juiverie
internationale qui fut chronologiquement derrière le chantage fait au président
Wilson et de la déclaration de guerre sainte contre l’Allemagne, puis ami de
Scoffield ou plus communément à la tête de ce qu’on appelle, l’élite de la théorie de la fin du monde ; Où
une bible fut changée conformément à la stratégie sioniste et donc
rothschildienne d’établir une base militaire dans le moyen Orient pour sécuriser le canal de Suez, dont les
Rothschild avaient embarqué l’armée britannique pour l’occuper. Puis des noms comme Bernard Baruch, qui
habitait Manhattan et qui finança le projet de la bombe atomique, le mulet
d’une course dont les véritables véhicules ne sont jamais visibles. En passant
par des comédies comme le nazisme financé par les banques rothschildienne,
Warburg et J. Henry Schroder (21), où le
communisme, qui porte les emblèmes et la couleur rouge des Rothschild, système
financé depuis son premier jour par Wall Street ; au même titre d’ailleurs que
toutes les révolutions communistes qui furent financé par Kuhn&Loeb une
banque satellite des Rothschild (9).
La dernière comédie qui se joue live est toujours la première, le
sionisme, qui à présent est pratiqué par les neo-conservateurs comme on les appelle, où une bande d’agents
et mercenaires au service des banques internationales, tentent de plonger le
monde dans le chaos ; pour en extraire un nouveau qui lui sera dévoué à
leur religion qui est le culte de
l’argent.
Israël est le seul pays au Monde qui n’est pas régi par
une constitution écrite ou toute autre forme de code intrinsèque et inhérent
propre à un Etat de droit ; mais par des lois racistes qui privilégient
l’appartenance ethnique. Comme étant d’ailleurs le seul pays qui n’a pas de
frontière officielle mais une géométrie variable et expansive. Ce qui pousse a
constater qu’Israël n’est rien de plus que la plus grande base militaire dans
le monde. Cette base militaire est régie
par un système d’exception qui la hisse de ce fait au dessus de toute loi, et
il serait vain d’énumérer les centaines de résolution onusienne qu’elle a
outrepassées, et dont elle se ri (10). De l’affaire Lavon, aux vols des bateaux
vedettes françaises, il est encore plus vain de citer tous les coups montés,
les renversements de démocratie et déstabilisation politique dont cet état maffieux a les secrets (11).
Ainsi qu’il serait dépressif de rappeler toutes les tueries et actes de terrorisme
dont elle fut le commanditaire et dont elle reconnaît fièrement la
responsabilité. De l’assassinat du compte Bernadotte et d’autres par l’Irgoun
et le Stern (Menahem Begin, Itzhak Shamir), en passant par l’attentat de
l’hôtel King David et celui de l’ambassade espagnole, la liste est des plus
exhaustive. Du massacre de villageois à DeirYassin ; du camp de réfugiés
palestiniens, Chabraa wa Chatilla, et de Kanaa, où principalement des milliers
de femmes et d’enfants furent décimés par l’armée israélienne. Pour l’anecdote
Ariel Sharon, le boucher de Chabraa wa Chatilla déclarait que les massacres
qu’il avait lui-même effectués n‘auraient pas pu être réalisés par même une
armé complète.
Dans le discours de Benjamin H.Freedmann (première partie
de ce livre,) lors de son allocution faite en 1961 à l’hôtel Willard à
Washington, il fait référence comme un clin d’œil à l’histoire à trois éléments majeurs,
interconnectés et s’imbriquant l’un par rapport à l’autre ; les taxes sur le
revenu (income taxes) ; la naissance des réserves fédérales (Federal Reserve) ;
et le mouvement sioniste. La monnaie inflationniste est la base du sionisme,
les taxes sont les piliers, et la spéculation en est sa voûte. Sans la création
des fédérales réserves américaines, les sionistes n’auraient jamais pu former
un système monétaire illusionniste car
inflationniste (faible équivalent en Or dans la banque nationale) est
permettant aux USA de financer la première
guerre mondiale et de fabriquer un ’’trou noir’’ économique, aspirant
tous les revenus monétaires dans son sillage, et de ce fait, faisant d’elle à
présent, le pays le plus endetté au monde, atteignant les $9 trillions (12).
Ensuite il fallait fabriquer un système de collecte de taxe où la population
serait toujours ’’en manque’’ et devrait rembourser un argent qu’ils n’ont pas
dépensé, ou même s’ils l’ont débite, cet argent n’existe presque pas.
Finalement, il leur serait interdit selon la loi, de même questionner sur cette
dette (le seizième amendement) (13).
Sans ces ’’tour de passe passe’’ monétaire, la première et la deuxième guerre
mondiale ne se seraient jamais jouées (14) ; les arnaqueurs de Wall Street et
le complexe militaro industriel devraient fermer boutique, la presque
quasi-totalité du monde vivrait en équilibre ou au moins sans conflit armé
majeur.
A présent, ces combines représentées internationalement par le FMI et la
banque mondiale entre autre, servent à
exporter l’inflation américaine tout autour du monde, mondialisation
oblige. Le
monde entier sera inondé de billet de Dollar ’’flottant,’’ dont l’équivalent en réserve en Or n’excède pas les 5 pourcent.
Ce système qui dans la même foulé
prétend servir mais en vérité manipule, contre leur gré, deux religions,
le judaïsme et le christianisme pour atteindre ses seuls intérêts ; et de
l’autre coté, prônant la laïcité, interdit toute remarque quand l’Islam essaye
de réclamer son droit légitime et vital qui est la protection et la
préservation de son intégrité et de ses valeurs. Il voudrait tant que ces trois
confessions de même racine monothéiste et partageant la même origine abrahamiques ne soient qu’une
représentation symbolique qu’il userait, limiterait, ou utiliserait l’un contre
l’autre afin d’accéder à un but sacré qui est d’amasser toute les richesse de
la Terre et de contrôler les peuples. La seule religion valable à ses yeux ou
plutôt son oeil, est le culte de l’argent, et interdit tout autre forme de
pratique sacrée que la sienne qui est le monothéisme du marché, la
mondialisation d’un clergé nantis et financier ayant pour sacerdoce la
bénédiction de dévotes ouailles issues de la standardisation des êtres humains
changés en individus seulement producteurs et consommateur, mais n`ayant que le
statut de débiteurs ; Qui devront les prier selon un rite matérialiste de consommation dans des temples créditeur de
la seule matière sacrée, l’argent inflationniste et défini par une unité
instable.
L’Algérie a été la première nation dans l’histoire à recevoir les tirs de canons achetés
directement par les banquiers
internationaux ; quand ceux ci déjà à la tête de la France ont équipé et
financé l’armée de Charles X, en vu d’envahir la Régence d’Alger.
Ils n’y avaient rien de
religieux dans cette compagne, non plus rien de politique, mais seulement une
affaire d’argent (15). Le baron James Rothschild était l’argentier du Royaume
français qui endetté vis-à-vis de l’Algérie mais encore plus endettée par les
Rothschild ; n’avait d’autre possibilité que de se plier aux exigences de leur
bailleur de fonds et d’effectuer une
attaque comme ils leur étaient exigés. Rappelons pour l’historique que lors de
la compagne d’Egypte entreprise par le général Bonaparte, la France avait
contracté à la Régence d’Alger des achats pour l’approvisionnement en grain
dont la valeur représentait des millions
de francs Or de l’époque. Après plus de quarante ans la France n’avait toujours
pas réglé ses dettes à la Régence d’Alger, qui finit par s’impatienter. Entre
temps Waterloo s’était jouée en faveur de l’armée britannique du Duke of Wellington qui avait été armée et financée
par le grossier Nathan Rothschild. La France sortit de cette bataille
complètement ruinée, et ne pouvait plus payer les dettes contractées à
l’Algérie. Elle ne trouva pour seul moyen d’effacer l’ardoise que de faire le
nettoyage des comptes du Dey d’ Alger en lui envoyant une armée montée et
habillée avec l’argent des Rothschild, afin de faire le propre dans la Casbah
(16). Dans cette perspective, la France usa de la religion et de la bible,
alors qu’elle était depuis 1789, une des premières nations laïques dans
l’histoire. Mais comme il n’y a que le résultat qui importe, elle a su mélanger
toutes les sauces pour concocter son entrée en Algérie et rafler tout l’Or du
Dey (17).
Bien sur on prétexta des raisons
sécuritaires, d’autres civilisatrices, certaines divines. Mais la plus sordide, fut cette affaire imaginaire et
pièce théâtrale du fameux coup d’éventail que le consul Deval, personne immonde
et associé au créancier juif algérien Bacri, aida à fabriquer dans le
subconscient historique du peuple français, afin que ce dernier puisse mieux le
graver. On eut un prétexte qu’on avait pas tant espéré, qui d’ailleurs ne
méritait nullement une occupation armée et un génocide, à part peut être dans
l’inconscient corrompu de Deval ainsi que dans sa grossièreté linguistique à
manipuler la langue turque (15).
A défaut d’excuse valable, on inventa une rentable ; mais peu importe,
le jeu en valait la chandelle. En un tir croisé, le politique appela les
prêches décroisés du père Lavigerie, pour l’aider à mener en bateau les
descendants des croisés pour une croisière punitive, en donnant l’absolution au
peuple français qui dés lors vit dans l’occupation de l’Algérie un prolongement
sacré des croisades moyenâgeuses des chevaliers du temple.
La France était depuis la révolution de 1789, une plus que moins
république laïque, franc maçonne qui ne se souciait guère de l’enseignement du
Christ, mais plutôt obéissait a une religion financière ou le dernier messie
s’appelait Mayer Amschel Bauer Roth
shield.
La dérision et la
comédie veulent que la France qui avait écarté l’Eglise du gouvernement après
la chute de la monarchie, viennent à
quérir de ses soins pour bénir une expédition laïque ayant pour mission de
convertir un affront individuel et symbolique en une invasion militaro
ethnique. Mais qui donc est le plus à plaindre dans ce drame ; l’état français
qui avait su se servir de toutes les cartes pour monter son coup ; Ou l’Eglise
écartée et écartelée qui tomba dans le panneau et ne joua plus le rôle que
d’une roue de secours qui ne lui était même pas permis de tourner en rond
convenablement.
La tragédie palestinienne est, point par point, identique à celle
vécue par la nation algérienne au 19ieme
siècle. Que ce soit la France qui envahit l’Algérie, ou l’Angleterre qui
envahit l’Egypte, et maintenant les Ashkenazi d’Europe de l’Est qui occupent la
Palestine, le point commun est, quoique les lieux et les noms changes, le
style est absolument identique, comme
dans un opéra bouffa où on peut entendre aux mêmes actes toujours
les même belles voix quand ils envahissent pour une cause juste et
humaine, se prétendant quelquefois divine (un peuple sans terre pour une
terre sans peuple, la terre promise, le peuple élu de dieu) ou au pire civilisatrice
(implémentation de la démocratie.) Depuis plus d’un siècle, une élite a
façonné une mythologie politico religieuse sur mesure justifiant
l’envahissement d’une partie du Maghreb par la France au 19ieme siècle ;
l’occupation sans la moindre déclaration de guerre de l’Egypte par l’Angleterre
; la naissance d’un état israélien fantoche en Palestine ; et dernièrement
l’occupation américaine de l’Irak et bientôt de tout le Moyen Orient. L’enjeu est le même.
Vu d’un autre angle, il y
apparaît le scripte d’un opéra de bouffon joué à la redondance, où les mauvais
rôles sont aussi distribués par les mêmes metteurs en scène, et joués par des
indigènes musulmans sous développés et terroristes, mais tellement mauvais
joueur qu’ils refusent de se courber à la principale règle de la
représentation, l’asservissement.
Quand une mythologie pseudo religieuse camoufle une agression militaire
dans le seul but est financier ; où un génocide est commis par un peuple à qui
on a menti, sur un autre peuple ayant l’impardonnable tort de se trouver à la
mauvaise place et au mauvais moment, comme un représentant statique d’un
mauvais rapport fractionnel dont les statistiques font que sa valeur doit
toujours être réduite ou bien effacée. Ainsi que tous les prétextes ethnico
religieux de façade que cette élite use et abuse ayant pour résultat le
nettoyage ethnique de tout un peuple légitime par le parachutage d’un autre
peuple en mal d’origine afin que ce dernier soit leur garde rapprochée et qu’il
sécurise leur fond de commerce.
Que ce soit le fameux coup d’éventail que le vertueux Dey
Hussein avait soi disant assené à la respectabilité insolvable de la dette
française qui n’en demandait pas tant pour s‘absoudre dans une colonisation qui
sonna le glas pour le peuple algérien ; en passant par l’imaginaire attaque du
S.S.Sussex par les allemands, et
prétexte à l’entrée américaine dans la première guerre mondiale ; ainsi qu’à
toutes les provocations de la baie du Tonkin permettant à la Standard Oil
de prospecter la nappe pétrolière des cotes sud vietnamiennes en prétextant une
menace communiste ; et finalement le 11 septembre 2001 qui inaugura, d’un coté
pour UNOCAL, la signature des contrats de
pose de pipelines en Afghanistan, et de
l’autre coté, pour toute la nébuleuse militaro pétrolière, le monopole du plus
vaste champ pétrolier, l’Irak. On pourrait
comparer ces stratégies soit à des comédies hollywoodiennes faites de
figurations dramatiques et à la fois comiques
ayant toujours le même scénario ; soit aux fables de De la fontaine,
dont la morale pourrait être ’’ la raison du plus fort est toujours la
meilleure’’.
Entre
la morale de fable et les scènes pathétiques de série B, il y un rapport, la
politique est un drame virtuel joué par
des acteurs véreux pour un publique endetté et affable, dans le but d’engendrer
un bénéfice vénal pour les metteurs en scène qui ne sont autre que les
banquiers sans scrupules et qui eux, n’ont en
aucune de morale.
Il n’y avait rien de politique ni de religieux à
l’invasion française en Algérie. Il n’y avait rien de politique ni
de religieux aux deux guerres mondiales.
Il n’y avait rien de politique, ni de religieux, et encore moins de
raciale, à ce qui c’était passé entre
l’Allemagne et le sionisme. Comme aujourd’hui
Il n’y a rien de politique, ni de religieux à la présence américaine
dans tout le Moyen Orient. Comme il n’y a rien de politique ni de religieux et absolument rien de racial à ce qui ce
passe entre les israéliens et les palestiniens ; tout ces points ont une
seule et même origine, l’utilisation de la force et tout les moyens
inimaginables pour la légitimer, dans le seul but d’atteindre un intérêt
matériel. Cette dernière tragédie qui paradoxalement met en évidence deux
peuples aussi victimes l’une que l’autre ; mais avec une nuance de taille quand
même. Car les plus à plaindre ne sont pas les Palestiniens qui sont conscients
d’être victime et qui réagissent ; mais plutôt les Israéliens, n’étant devenu
qu’un des outils de cette élite ; qui ne
manquera pas, quand ces prétextes-outils
deviendront obsolètes, de les jeter eux aussi aux oubliettes. Ce système ne
survit pas sans crises ni conflits, la perspective de paix sur terre est
synonyme de fin de business à leurs yeux (7). Leur stratégie est de forme
complexe mais très simple au fond ; pousser les peuples à s’entretuer, ce qui
permet de leur prêter des fonds, dussent t’ils être vainqueurs ou vaincus, puis
les utilisés juste en tant que débiteur, et surtout les saturés de taxes pour
qu’ils ne relèvent pas la tête, en leur miroitant des crises militaires dont la
guerre froide est le meilleur exemple.
Portrait de Benjamin
Freedman.
Vouloir
essayer de commenter les écrits de Benjamin H.Freedman n’est pas une tache
aisée. C’est en quelque sorte vouloir commenter l’œuvre d’un génie ; car
Freedman fut un génie dans son genre, ou du moins une personnalité grandiose et
hors du commun. La
notion de preuve logique ; c’est de là que Freedman tire son génie et se
révèle être une référence ; car ayant su très tôt, abandonner dans les vestiaires ses intérêts
pour se laisser guider uniquement par
ses principes. Comme un génie il eut une faculté démesurée et presque inné de
toujours se diriger vers une position où seules les faits réels comptent.
Benjamin Freedman est d’autant plus une personnalité fantastique quand
on réalise qu’il fut très jeune, seulement vingt deux ans, attaché à la
carrière du futur président des Etats-Unis Woodrow Wilson. D’ailleurs Freedman
n’a jamais manqué de critiquer ce dernier quand l’occasion le nécessitait. Mais
ajoutant à cela qu’il a fait preuve du même courage et de la même lucidité,
consécutivement face à sept présidents
du pays le plus puissant au monde. Sans tenir compte du rapport hiérarchique,
il ne s’est jamais privé de leur signaler leur manque de conscience face à un sujet
qui s’avère être la cause d’un conflit maintenant presque centenaire, à savoir
la Palestine.
Cette personnalité a été depuis 1912, dans les coulisses de la comédie
politicienne, sachant évoluer sans se salir dans les remous de la stratégie
internationale. Il fut introduit dans la politique par les précurseurs du
sionisme, et devint lui-même un sioniste de renom. Quand
on imagine qu’il fut présent lors du traité de Versailles parmi la délégation
sioniste américaine, on comprend plus aisément son envergure. Quand on réalise
qu’en tant qu’industriel international, il dépensa plus de $2.5 millions de
fond privé pour révéler au peuple américain la face cachée des conflits de la
première et de la deuxième guerre mondiale, leur origine et aboutissement qui
risque d’être le déclenchement de la troisième guerre mondiale. Il eut la possibilité
d’assister à tous les plans qui ont façonné le monde que nous vivons
aujourd’hui. Il n’avait pas sa
langue dans sa poche et ne s’était pas gêné pour essayer de raisonner les chefs d’états américains, de Wilson
jusqu’à Nixon, sur leur responsabilité dans la tragédie palestinienne. Juif
d’origine, l’auteur a observé le monstre du sionisme depuis sa genèse. Les
raisons qui l’ont poussé, non seulement à s’en distancier, puis à le dénoncer,
sont principalement le fait que l’auteur a amèrement constaté que le sionisme
était la création d’une famille de banquier d’élite qui le mit sur scène pour
camoufler une stratégie financière. A
juste titre, l’auteur a consacré une grande partie de sa fortune et de sa vie à
alerter l’opinion publique américaine et internationale sur le vrai visage du
sionisme ainsi que sur son but caché qui est le contrôle du monde à partir de
la colonne vertébrale de la production pétrolière et des réseaux commerciaux,
mais surtout le principale couloir maritime mondial, le Moyen Orient. Les
causes qui ont poussé B.Freedman a renier le judaïsme, pourront être trouves
dans son livre Facts are Facts (omni/Christian book club) (18), où il
explique à travers une étude anthropologique, historique, religieuse et
linguistique, les mensonges véhiculés au cours de ce dernier siècle par une
élite de banquier qui écrit l’histoire comme certains couturiers taillent les
costumes sur mesure. Entre autre que les juifs actuels sont à 98 pourcent
Ashkenazi ou Khazar et donc une race non sémite qui trouve ses origines au
9ieme siècle en Asie (19). Tous ces éléments et bien d’autre ont poussé
l’auteur à faire une introspection de lui-même et l’on donc poussé à renier les
idéaux factices du sionisme. Freedman est plus ou moins connu en Amérique,
dépendant de la censure médiatique qui la foudroyé dés ses premières
révélations. Par contre sa société la Woodbury Soap Company était très
réputée il y a encore quelques années de cela.
J’y étais
Rare sont ceux dans l’histoire qui ont eu le privilège de déclarer en citant
un événement, le fameux ’’ j’y étais ‘‘ comme l’a fait si souvent Benjamin
Franklin.
Aussi surprenant que cela puisse être, il fut, depuis 1912, de toutes
les parties des ’’acteurs’’ de ce monde ; présent à toutes les séances
présidées par le Président Wilson durant son double mandat. Mais le comble de
l’ironie veut que juste avant le fameux discours de déclaration de guerre des
américains aux allemands, Freedman scrupuleusement fasse remarquer au président
Wilson que cette déclaration se basse sur un attrape nigaud.
Qui
pourrait savoir mieux que lui le goût de la rancœur du peuple allemand alors
qu’il fut parmi les juifs de la délégation sioniste présente au traité de
Versailles en 1919. Il vécut d’ailleurs dans
l’Allemagne de l’entre deux guerres, et donc était à même de constater
si le peuple allemand était aussi cruel que les média sionistes le dépeignaient
alors. Il fut aussi à l’origine de l’enquête qui révéla la trahison des
Rosenberg. Peu de gens dans le monde savent limiter leurs sentiments pour
libérer leur conscience. Freedman étant un milliardaire juif, il aurait très
bien, comme le ferait la presque quasi-totalité du commun des mortels, tu toute
l’histoire, jouer le jeu, tirer profit de son silence et vendre ses
informations. Il ne l’a pas fait en tant que jeune sioniste, a refusé de se
taire en tant que juif désillusionné ; mais le comble de l’histoire c’est qu’il
a dépensé une fortune colossale pour le révéler au Monde. Très peu de gens et
encore moins de milliardaires, dussent t-ils être industriels ou politiciens
ont eu le courage de sacrifier leur argent et leur réputation pour défendre une
cause non profitable sinon perdue, comme l’a fait Freedman.
Albert Camus déclarait durant la guerre d’Algérie, à propos de son sentiment en tant que
français d’Algérie : ’’Si on me demande de choisir entre la vérité et ma
mère, je choisirai ma mère.’’
Benjamin Freedman, fut la parfaite antithèse de Camus, et démontra que
rien n’est plus sacré que la vérité. Que même, en tant que sioniste militant à
l’origine, il a su évoluer vers une
synthèse, faisant de sa vie un combat pour son unique confession, la vérité.
BIBLIOGRAPHIE
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troisième Reich. William L.Shirrer. Edition Stock.
1959.
(2)Naturei Encarta -Jewish Orthodoxy Official Representative. (3)Encyclopaedia
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six pointed star. O.J.Graham. New
Puritan Library.1984.
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Muhlstein.The Vendome Press.NY.
1980. (6) The Jewish State (Address to the
Rothschild), Théodore
Herzl.
(7)Behind the iron mountain. Rapport commandé par
J.Macknamara sur les conséquences
d”une paix mondiale.
US Defense Department. (8)Descent
into slavery. Dess
Griffith. Emissary Publications.1980.
(9)Wall Street and the Bolshevik Revolution. Anthony C. Sutton. (10)Liste
de toutes les violations des décisions onusiennes par Israël. UN. * (11)By way of deception. Victor Ostrovski.1990.
(12)The creature
from Jekyll Island. G. Edward Griffin.
(13)"It's illegal to challenge the
national debt!" The 16h Amendment. Library of
Congress. USA.
(14) Secret of the Federal Reserve. Eustace Mullins. 1952.
(15)Le miroir.
Ahmed Khodja. Edition Sindbad. 1833.
(16)Le Parjure. Michel
Habart.1960. (17)Histoire
de l’Algérie contemporaine. C.H Julien. (18)Facts are Facts. Benjamin H.Freedman. Omni/Christian book club. (19)The
Thirteenth Tribe. Arthur Koestler. Random House .NY. 1976.
(20) The Rockefellers. Peter
Collier & David Horowitz. (21)Wall
Street and the rise of Hitler .Anthony C. Sutton.
(22)The Zionist Connection. Dr Alfred Lilienthal.
(23)Outline
Of History. (Revue) .H.G.Wells.
(24)Rescue and Liberation: America’s part in the birth of Israel.
New York. Bloch.1954
(24)The Economic Council Letter. (Revue). Benjamin Freedman.
Octobre 1947. (25)Somewhere South Of
Suez. Graetz,
Dubnow, Friedlander, Raisin.1950.
* Voir à la fin de l’ouvrage
Présentation du livre.
Cet ouvrage est la traduction des révélations faites
par Benjamin Franklin ; ainsi que de leur remarquable introduction respective
faite par les éditions responsables de la publication.
Le premier chapitre est un fameux discours donné à
Washington-DC durant l’année 1961. L’auteur y fait, en autre, référence à la
crise d’alors, la fameuse guerre froide.
Puis viennent les chapitres contenus dans le livre The Hidden Tyrrany,
(CPA Book Publisher.) Le style y est
respecté à cent pour cent, ce qui donne lieu
à une certaine forme de répétition que l’auteur voulait apparemment
souligner du fait de l’importance et de la gravité des faits en question.
Le rôle des
sionistes dans les deux guerres mondiales
Discours donné en 1961 par Benjamin
H.Freedman au nom d’un magazine de l’époque Common Sens à l’hôtel Willard de Washington DC.
Benjamin Freedman est né en 1890 de parents juifs. Il devint un homme
d’affaire new-yorkais réputé au point d’être le principal propriétaire de la Woodbury
Soap Company. Il rompit
avec le sionisme international à la fin de la deuxième guerre mondiale, puis
passant la restant de sa vie à exposer les faits de l’influence sioniste en
Amérique ; dépensant pour cela plus de $ 2.5 millions de sa propre poche. M.
Freedman ’’savait’’ dans le vrai sens du terme, car ayant évolué
dans les plus grandes sphères de l’état et de la politique. Il fut d’ailleurs
très familier avec Bernard Baruch, Samuel Untermeyer, Woodrow Wilson, Franklin
Roosevelt, Joseph Kennedy et John F.Kennedy, ainsi que de nombreux autres
figures marquantes de son temps.
Ici aux Etats Unis, les sionistes et leurs
coreligionnaires exercent un contrôle total sur notre gouvernement. Du à de
multiples raisons, trop complexes et trop nombreuses pour les aborder
maintenant ; les sionistes et leurs coreligionnaires règnent sur les USA comme
de vrais monarques. Vous pourriez penser que c’est une accusation somme toute
gratuite.
Alors permettez-moi de vous raconter ce qui c’était réellement passé
tandis nous étions tous endormis.
La
première guerre mondiale survint durant l’été 1914. Il y a ici peu de gens de
mon age qui se souviennent de cela. Cette guerre fut menée d’un coté par la
Grande Bretagne, la France et la Russie, et de l’autre coté par l’Allemagne,
l’Autriche-Hongrie et la Turquie. En l’espace de deux ans, l’Allemagne avait
remporté la guerre. Non seulement l’avait remportée nominalement mais aussi
réellement. Les sous-marins allemands, qui furent une totale surprise pour le
monde, avaient balayé tous les convois de l’Océan Atlantique. La Grande
Bretagne se trouvait sans munitions pour ses soldats, avec une dernière semaine
de ravitaillement ; et après cela juste la famine. Au même moment l’armée
française s’était mutinée. Ils avaient perdu 600 000 soldats à la fleur de
l’age dans les batailles de défense de Verdun et de la Somme. L’armée russe
avait déserté ; ils ne voulaient plus jouer à la guerre et avaient raccroché
leur ‘jouet’ pour retourner à la maison ; d’ailleurs ils détestaient leur Tsar.
Quant à l’armée italienne, elle s’était littéralement décomposée.
Durant exactement la même période, pas un seul feu n’avait encore été
tiré en territoire allemand, pas un seul soldat ennemi n’avait encore franchi la frontière
allemande.
Pourtant, l’Allemagne proposait un accord de paix. Ils offraient à
l’Angleterre une paix négociée appelée par les juristes un ’’STATUS
QUO ANTE BASIS ’’ signifiant, « cessons le combat et retournons
aux conditions d’avant la guerre.»
Durant l’été 1916, l’Angleterre considérait
sérieusement cette proposition. Ils n’avaient d’ailleurs pas le choix. C’était
soit accepter cette offre de paix noblement proposée par les Allemands, soit
aller vers une défaite certaine.
Tandis
que cela se discutait, les sionistes de l’Europe de l’Est rencontrèrent le
British War Cabinet. Je vais être bref, car ceci est une longue histoire ; mais
je détiens tous les documents prouvant mes déclarations. Ils dirent : « Ecoutez nous, vous pouvez encore remporter
cette guerre….ne baissez pas les bras…vous n’étés pas obligé d’accepter la
proposition de paix faite par l’Allemagne. Vous pouvez gagner cette guerre si,
l’Amérique venait à vos cotés en tant qu’allié. »
Les USA étaient alors hors du conflit. Nous étions jeunes, nous
étions innocents, nous étions puissants. Ils dirent à l’Angleterre : « Nous
vous garantissons d’embarquer les USA contre l’Allemagne dans cette guerre, si
vous nous promettiez la Palestine après la victoire ».
En
d’autres termes ils firent ce pacte : « Nous nous chargeons de ramener les
USA en tant qu’allié ; le prix à payer sera la Palestine, après bien sur, la
défaite de l’Allemagne, Autriche-Hongrie, et Turquie. » L’Angleterre
avait autant de légitimité de promettre la Palestine à quiconque, qu’aurait les
USA de promettre le Japon à l’Ireland pour quelque raison que ce soit. Il est
absolument absurde que la Grande Bretagne, qui d’ailleurs n’a jamais eu aucun
lien en quoi que ce soit ou même un intérêt quelconque, pas plus que de droit
par rapport à ce qui est connu en tant que
« Palestine » ; aurait à l’offrir comme part du gâteau pour payer les
sionistes en service de leurs actions à faire combattre les USA contre
l’Allemagne.
En octobre 1916 cette promesse fut faite malgré tout.
Peu de temps après cela, je ne sais pas combien de vous s’en souviennent, les
USA qui était presque totalement ’’pro Allemand’’, soudainement entrait en
guerre aux cotés des britanniques.
Je répète que les USA était quasiment pro Allemand ; parce que les
journaux étaient tous contrôlés par des juifs, les banquiers étaient juifs,
toute l’industrie des mass média et de l’information dans ce pays était sous
contrôle juif. Et il s’avère que les juifs étaient pro Allemand. Parce que
beaucoup d’entre eux étaient venus d’Allemagne, et ils ne rêvaient que d’une
chose, voir les allemands déposer le Tsar. De tout temps les juifs n’aimaient
pas le Tsar de Russie et ne voulaient pas le voir remporter la guerre. Ces
banquiers juifs allemands, comme Kuhn&Loeb, et beaucoup d’autres
banques américaines, simplement refusaient de financer la France ou
l’Angleterre du moindre sou. Par contre, ils versèrent des sommes colossales à
l’Allemagne. Ils avaient choisi leur camp depuis le début de la guerre. Ils dirent
: « Tant que l’Angleterre et la France sont liés avec la Russie, ils
n’encaisseront pas le moindre Dollar». Ils procurèrent à l’Allemagne des
fonds monétaires pour défaire la Russie. Donc, ces mêmes banquiers juifs réalisant la possibilité de
décrocher la Palestine, se rendirent en Angleterre et firent ce pacte.
A ce moment précis, tout changea, comme un feu rouge qui tournerait au
vert. Quand bien même les journaux avaient été tous pro Allemand ; disant à
l’opinion publique les difficultés qu’avaient l’Allemagne à combattre
économiquement la Grande Bretagne et en d’autres secteurs. Soudainement les
Allemands devinrent mauvais, tout d’un coup ils étaient horribles, maintenant
c’était des ‘‘Huns’’ qui se mettaient soit disant à tirer sur les ambulances de
la croix rouge et découpaient les mains de bébé.
Peu de temps
après cela le président Wilson déclara la guerre à l’Allemagne. Les sionistes
de Londres avaient alors envoyé un télégraphe aux USA à l’adresse du juge
Brandeiss lui disant : « Occupez-vous de Wilson, on a eu ce qu’on voulait de
Londres. Débrouillez vous pour engager les USA dans le conflit».
Voila comment les USA entrèrent dans la première guerre mondiale. Nous
n’y avions aucun intérêt, nous n’avions aucun droit d’être dans ce conflit que
d’être par exemple ce soir sur la Lune ou tout autre lieu que dans cette salle.
Il n’y avait en aucune raison que ce soit, que la première guerre mondiale soit
notre guerre. On nous piégea et nous y emmena à notre insu ; on nous parachuta
dans ce conflit, ou si je puis être vulgaire, on nous ’’aspira’’ dedans. Nous étions ‘‘le dindon de
la farce’’, le pigeon d’une arnaque tendue par le sionisme internationale ;
tout simplement pour qu’il puisse s’accaparer de la Palestine. Ceci est quelque
chose dont le public américain n’a jamais entendu parler. Ils ne furent jamais
informés de la cause de notre participation à la première guerre mondiale. Après
avoir fait entrer l’Amérique dans le conflit, les sionistes s’en allèrent au
British War Cabinet en Angleterre et tinrent à peu prés ce langage: «Voila
que nous avons effectué notre part du marché, nous voudrions avoir quelque
garantie écrite prouvant que vous honoreriez à votre tour votre part du contrat
et donc que vous nous céderiez la Palestine ; bien entendu après que vous
aillez vaincu. »
A
ce moment précis, personne ne pouvait dire si la guerre allait durer une année
ou dix de plus. Donc ils imaginèrent une sorte de facture, un genre de récépissé
qui avait la forme d’une lettre écrite en des termes vicieux la rendant
mystérieuse et incompréhensible pour tout le monde. Cela a été appelé la
’’Déclaration Balfour’’.
Cette fameuse
déclaration Balfour dont on a écrit
tellement à propos, était simplement la promesse anglaise faite aux sionistes
pour l’accord que ces derniers avaient
passé pour embarquer les USA dans le conflit. Cette grandiloquente déclaration
Balfour dont vous entendez parler abondamment est aussi factice qu’un billet de
banque du jeu de Monopoly. Pour essayer d’être plus explicite, c’est la
base de toute la crise.
Les USA se jetèrent tête baissée dans la première guerre mondiale et
l’Allemagne fut écrasée ; bien sur, après cela vous savez ce qu’il advint. A la
fin de la guerre les Allemands s’en allèrent pour signer l’armistice à Paris, à
la fameuse conférence de paix de 1919 à Versailles. Il y avait là cent dix neuf
juifs représentant le sionisme international et à leur tête Bernard Baruch.
J’y étais à cette fameuse conférence de paix à
Versailles. Je dois donc de le savoir.
Que s’y était-il
donc passé ? Durant
cette conférence où l’Allemagne fut découpée et l’Europe divisée pour les
nations prétendant y avoir un droit sur le territoire. Les sionistes aussi
réclamèrent leur part du gâteau en prétendant : « Ne nous aviez vous pas
promis la Palestine ? » C’est alors qu’ils produisirent leur preuve,
révélant pour la première fois la déclaration Balfour devant des yeux allemands
ébahis. C’est seulement à ce moment précis que les Allemands réalisèrent le
genre de piège qu’il leur avait été tendu et la vraie cause de l’entrée des USA
dans ce conflit. Ils comprirent alors l’étendue du coup qu’il leur a été asséné
et souffrirent des terribles conséquences et des réparations de guerre qu’on
leur affligea. Tous leurs malheurs venaient du fait que les sionistes voulaient
la Palestine et étaient prêts à tout pour l’avoir. Ceci nous mène directement à
faire un autre point. Quand les allemands constatèrent les faits ; bien sur ils
s’en indignèrent.
Il faut signaler qu’avant cet événement, les juifs ne s’étaient jamais
mieux sentis plus libre qu’en Allemagne. Vous aviez M. Rathenau qui était là
bas peut être cent fois plus important en industrie et finance que Bernard
Baruch ici. Vous aviez M. Balin qui possédait les deux plus grandes lignes
maritimes, la North German Lloyds et la Hamburg-American. Vous
aviez M. Bleichroder qui était le banquier de la dynastie impériale des
Hohenzollern. Vous aviez les Warburg à Hambourg qui étaient des grandes banques
du négoce, peut être les plus importantes au monde. Sans aucun doute on peut affirmer
que les juifs se portaient comme un charme en Allemagne.
Les Allemands ne pouvaient pas digérer ce qu’il leur avait
été fait et prirent cet accord secret comme une parfaite trahison. Cette
trahison pourrait être comparée à une hypothétique situation ; à supposer que les USA serait en
guerre contre la Russie. Et nous gagnerions. Mais nous proposerions à la Russie
de tout laisser tomber et lui offririons une paix sur un plateau d’argent
qu’elle ne pourrait refuser. Mais soudainement, la Chine populaire surgit dans
la guerre aux cotés de la Russie. De cette intervention chinoise se dessina
notre défaite. Une défaite cuisante, avec de lourdes réparations de guerre
qu’aucune imagination humaine ne puisse accepter. Imaginez qu’après cette
défaite on su que ces les chinois de notre propre pays, nos propres concitoyens
qui tout le temps nous crûment loyales à notre cause non seulement nous avaient
vendus à la Russie et par-dessus le marché étaient responsables de
l’intervention chinoise contre nous. Que ressentirions-nous aux USA à l’égard
des Chinois ? Je ne pense pas que l`un d’entre eux puisse avoir le courage de se montrer en public. Ils n’y
auraient pas assez de réverbère pour les y accrocher. Imaginez notre
réaction.
Voila ce que ressentirent les Allemands pour les juifs ; eux qui ont été
si généreux avec les juifs depuis 1905, date qui vit la première révolution
communiste en Russie tourner au désastre quand les juifs ont du fuir de Russie
pour trouver refuge en Allemagne où ils trouvèrent l’hospitalité et furent traités
avec clémence. Et voila qu’ils vendent l’Allemagne dans une combine pour aucune
raison autre que l’accaparement de la Palestine en tant que soi disant ‘‘foyer
juif’’.
On a Nahum Sokolow, ainsi que tous les grands noms et
grandes figures dont vous entendez parler au sujet du sionisme aujourd’hui ;
ont en 1919, 1920, 1921, 1922 et 1923 écrits en inondant la presse de
déclaration concernant la réaction allemande contre les juifs était du au fait
qu’ils réalisèrent que leur défaite cuisante fut causée par l’initiative
sioniste de l’entrée américaine dans la guerre. Les juifs eux même le
reconnaissaient. Et
non pas qu’en 1919, les Allemands soudainement découvrirent qu’un verre de sang
juif avait meilleur goût qu’un Coca Cola ou qu’une bière munichoise. En
aucun cas il s’agissait d’un sentiment religieux. Tout était politique et
économique. C’était tout, sauf religieux. Personne ne se souciait en Allemagne
si un juif rentrant chez lui irait réciter le « Shema Ysroel » ou bien
le « Notre père ». Personne ne s’en souciait en Allemagne pas plus qu’en
Amérique. Le sentiment qui s’était développé après la guerre en Allemagne se
résumait en une seule et simple chose,
les Allemands rendaient les juifs totalement responsables pour leur défaite
cuisante.
La première guerre mondiale avait été déclenchée contre l’Allemagne pour
aucune raison que ce soit. Elle n’était coupable d’absolument aucune faute ;
sauf à être excellente. Ils bâtirent une grande marine, ils établirent un
commerce mondial.
Vous
devez vous rappeler que l’Allemagne au temps de la révolution française
consistait en plus de trois cents petites villes-etats, principautés, duchés,
et ainsi de suite. Trois cents petites entités politiques éparpillées. Et entre
le temps de Napoléon et Bismarck, ils s’étaient consolidés en un seul Etat ;
ceci en l’espace de cinquante ans. Ils devinrent une des plus grandes
puissances mondiales ; leur marine rivalisait avec la Grande Bretagne, ils
commerçaient tout autour du monde ; étant en mesure de surclasser quiconque et
avec une plus grande qualité dans la production.Que s’est-il donc réellement
passé ?
Il eut une conspiration entre la Grande Bretagne, la France et la
Russie, pour liquider l’Allemagne. Il
n’y a pas un historien au monde qui puisse trouver une raison expliquant
pourquoi ces trois pays décidèrent subitement de rayer l’Allemagne de la carte
politique.
Donc, quand après l’armistice, l’Allemagne réalisa
que les juifs étaient bel et bien responsables de sa défaite, évidement ils ne
purent digérer ce coup de couteau dans le dos. Cela va de soit qu’ils eurent
cette trahison accrochée en travers de
la gorge ; comme tout sentiment résultant d’une trahison est difficilement
explicable et tout aussi contrôlable. Toute fois, aucun juif n’avait été
agressé et pas le moindre cheveu de juif n’avait été touché. Dans
le livre du Professeur Tansill de l’université de Georgetown qui avait libre accès à tous les documents
secrets du département d’Etat américain ; et citant des documents du
département d’état écrits par Hugo Schoenfelt, un juif envoyé par Cardell Hull
en Allemagne en 1933, afin d’enquêter sur l’existence des soi disants camps de
prisonniers politiques ; qui en fin de compte les trouva en parfaite santé. Ils
se portaient très bien et d’ailleurs étaient très bien traités. Ces camps étaient remplis de
communistes, dont la grande majorité s’avérait être juive.
Tout simplement du
fait qu’en cette période, pas seulement en Allemagne mais dans toute l’Europe,
les communistes se trouvaient être composés à 98 pourcent de juifs. Evidemment
il y avait aussi quelques prêtres, ecclésiastiques, chefs syndicalistes,
francs-maçons et d’autres affiliations internationales.
Un petit rappel historique serait de rigueur. Entre 1918 et 1919, les communistes prirent
contrôle de la Bavière durant un courte période quand même. Rosa Luxembourg
avec Karl Liebknecht à la tête d’un groupe d’autres juifs, gouvernèrent trois
jours.
En
fait, à la fin de la guerre, le Kaiser s’était enfui en Hollande, tout
simplement parce qu’il craignait que les communistes allaient s’emparer de
l’Allemagne comme ils l’avaient fait en Russie et qu’analogiquement lui serait
réservé le même sort que celui fait au Tzar. Il prit donc la fuite par mesure
de sécurité.
Après que la menace communiste eut été balayée du sol allemand, les
juifs étaient encore très actifs, essayant de recouvrer leur statut. Les
Allemands les combattirent en une lutte générale ; sans pour autant que ce soit
physique où eurent touché un seul de leur cheveu. Ils les combattirent comme
ici en Amérique, les lois prohibitionnistes avaient combattu les trafiquants
d’alcool. Le combat était donc sans utilisation d’arme à feu, mais plutôt
civil. Il en était de même pour le combat entre les Allemands et les juifs.
Rappelons quand même, qu’en ce temps là il y avait autour de 90 millions
d’allemands pour seulement 460 000 juifs, qui représentaient donc à peu prés un
demi pourcent de la population allemande. N’empêche qu’ils contrôlaient toute
la presse et la presque totalité de l’économie. Car étant venu en Allemagne après la guerre
avec beaucoup d’argent, d’autant plus que la dévaluation drastique du Mark leur
permit de tout acheter pour une bouchée de pain. Les juifs essayèrent de
dissimuler ce fait. Ils ne souhaitaient évidemment pas que le monde sache
qu’ils avaient trahi l’Allemagne et implicitement récoltèrent sa rancœur. En
toute logique de réflexivité, des mesures appropriées et conséquentes ont été
prises par les Allemands contre ceux qui les avaient vendus. En d’autre terme,
ils les discriminèrent, évitèrent,
identiquement comme nous discriminerions, éviterions, les Chinois, les
catholiques ou quiconque dans ce pays qui nous auraient vendu à l’ennemi et
aurait ainsi causé notre défaite.
En juillet 1933, une conférence du sionisme international fut organisée à
Amsterdam. Les
juifs du monde entier y participèrent. Ils s’adressèrent à l’Allemagne en des
termes impératifs ; à savoir qu’ils -les sionistes- les sommaient de limoger Hitler et de faire
réintégrer tout les juifs dans leur fonction, eussent t’ils été communistes ou
non. En aucun cas les sionistes ne permettraient aux allemands de les traiter de la sorte ; et
en toute chose qu’il fallait considérer cet avertissement comme un ultimatum.
On imagine aisément ce que fut la réponse des allemands. Mais c’est la réaction
juive qui allait être des plus
étonnantes.
En 1933, quand l’Allemagne refusa de se plier aux
exigences sionistes à la conférence d’Amsterdam qui se clôturera sans avoir entamé la résilience
allemande. Le président de cette conférence et chef de la délégation américaine
était Samuel Untermeyer, qui la quitta aussitôt pour aller aux USA et
directement du bateau monta aux studios de la CBS (Columbia Broadcasting
System) et donna un discours transmis sur tout le territoire américain. Dans
lequel il dit : «le sionisme international maintenant appelle à la guerre
sainte contre l’Allemagne. Nous sommes maintenant engagés dans une bataille
sacrée contre les Allemands. Nous allons les forcer à se rendre. Nous allons
exercer un boycotte international contre eux qui les détruira du fait qu’ils
dépendent exclusivement de leurs exportations. »
Et c’est un fait que deux tiers 2/3 des besoins alimentaires allemands
doivent être importés. Cela peut être obtenu qu’avec le produit de la vente de
leur exportation. Donc si l’Allemagne n’exporte pas ; 2/3 de la population
allemande mourrait de faim. Il n’y a simplement pas assez de nourriture pour
plus de 1/3 de la population.
Donc, cette déclaration, que j’ai devant moi, publiée le 7Aout 1933
dans le New York Times, faite par M. Samuel Untermeyer qui n’avait pas
froid aux yeux quand il dit: « ce boycotte économique est notre moyen d’auto défense ; le président Roosevelt
l’a soutenu dans le programme de l’administration de reprise nationale. » Que certain d’entre vous s’en souviennent
peut être ; où quiconque ne respectait pas les lois du New Deal se verrait
boycotté. Lois qui furent déclarées inconstitutionnelles par la cour suprême
américaine en ce temps là. Toutefois, les juifs de par le monde
déclarèrent un boycotte contre l’Allemagne qui fut tellement efficace qu’on ne
pouvait plus trouver en magasin un produit portant ’’
MADE IN GERMANY’’. A ce sujet, un représentant de la Woolworth
Company me rapporta qu’ils avaient du jeter des millions de Dollar en
vaisselle dans la rivière ; parce que leur magasin aurait été boycottés si
quiconque viendrait et aurait trouvé des assiettes portant la mention ’’ MADE IN GERMANY’’. Ils auraient tout
simplement subit des manifestations avec des slogans « Hitler assassin » et
ainsi de suite ; identiquement à ces sit-in qui se sont déroulés dans le sud. A
un magasin appartenant à R.H Macy, sous contrôle d’une famille dénommée Strauss
qui aussi s’avère être juif ; une dame trouva des bas de chez Chemnitz
portant le ticket ’’ MADE IN GERMANY’’ ;
et bien, c’était des bas de coton qui devaient avoir été stockés là depuis plus
de vingt ans. Cela faisait un bout de temps que j’observais les jambes des
dames, mais il y avait belle lurette que je n’en avais vu portant des bas de
coton. On vit donc les magasins Macy’s boycottés, et où des centaines de gens
manifestaient avec des banderoles
portant les termes « Hitlériens »
ou « assassin». Alors que
jusqu’ici pas le moindre cheveu d’un quelconque juif n’avait été atteint dans
toute l’Allemagne. Ils n’encouraient aucune souffrance, aucune famine, aucune
agression, il n’y avait absolument rien. Naturellement les Allemands
s’étonnèrent ; qui étaient donc ces gens qui non seulement les soumettaient
à un boycotte mais en plus jetaient tous
leurs salariés au chômage ; bloquant leur économie et mettant à genoux leur
commerce. Ils s’en offusquèrent, c’était un total désarroi. Evidemment ils
dessinèrent des swastikas (croix gammée) sur les murs des magasins juifs.
Pourquoi diable un allemand irait donner son argent à un commerçant faisant
partie d’un blocus international poussant l’Allemagne à la famine ; la forçant
à se plier aux exigences du sionisme qui voulait lui dicter quel chancelier elle
devrait choisir. C’était tout simplement ridicule. Le boycotte dura un certain temps ; mais ce ne fut qu’en
1938, quand un jeune juif polonais fit irruption dans l’ambassade allemande à
Paris pour tirer sur un diplomate allemand, le tuant de sang froid. Cet
assassinat envenima les choses. Les Allemands devinrent alors réellement durs
avec les juifs et on vit donc en Allemagne des conflits entre juifs et
allemands où des magasins juifs furent attaqués. A
présent on doit faire le point ; personnellement je déteste utiliser le terme «
antisémite » car ce terme est complètement dénué et dénudé de sens à mes yeux ;
toutefois il représente quelque chose pour vous, donc je dois de
l’utiliser.
La seule raison expliquant le sentiment allemand à l’encontre des juifs
est le fait qu’il étaient responsables pour la première guerre mondiale, ainsi
que pour le boycotte international. Automatiquement ils étaient responsables
pour la deuxième guerre mondiale ; et parce que cela devenait apparent il fut
nécessaire que les juifs et les allemands s’engagèrent vers une issue menant
directement à une sorte de confrontation qui inéluctablement verrait la
désignation d’un seul vainqueur. Entre
temps je vivais en Allemagne et je savais que les Allemands avaient décidé que
l’Europe resterait soit chrétienne, soit allait devenir communiste et pas une
tierce option. Les Allemands décidèrent qu’ils feraient leur possible pour la
garder chrétienne. Ils commencèrent donc un nouveau programme de réarmement.
En novembre 1933, les Américains reconnurent
officiellement l’Union soviétique qui commençait à devenir très puissant.
L’Allemagne logiquement effrayée se réarma, appréhendant une éventuelle
confrontation avec l’URSS ; pensant qu’elle aussi aller tomber dans le communisme.
Identiquement à l’appréhension qu’aujourd’hui nous ressentons dans ce pays et
qui nous fait maintenir un programme de
défense de peur de devenir victime du communisme. Notre gouvernement dépense
autour de $84 milliards en matière de défense. Mais défense contre qui
?
Contre quelque 4 000 juifs de Moscou qui contrôlent la Russie et donc,
dans leur logique déviationniste ont un contrôle sur plusieurs autres pays du
monde. Si ce pays se dirige vers une troisième guerre mondiale, il faut savoir
que personne n’en ressortira indemne ; et c’est une idée qui défie tout
imagination.Je sais que la bombe nucléaire est mesurée en Mégatonne. Une Mégatonne est
l'unité qui définit un Million de tonne de TNT. Nos bombes nucléaires actuelles
ont des capacités de 10 Mégatonnes ou 10 Millions de tonnes de TNT; ceci quand
ils ont été conçus initialement. Maintenant les bombes nucléaires ont une
capacité de 200 Mégatonnes. Et Dieu seul sait quelles capacités possèdent les
bombes soviétiques. Dés lors à quoi sommes nous confrontés. Si nous
déclenchions une guerre mondiale qui risquerait de se développer en une guerre nucléaire,
l’humanité n’y survivrait pas.
Une telle guerre aurait-elle la possibilité de voir le jour ?
Cela aura lieu, car le rideau se lèvera pour le troisième acte. Le
premier acte fut la première guerre mondiale ; le deuxième acte étant la
deuxième guerre mondiale. Le ’’crescendo’’ va se jouer dans le troisième acte,
en d’autre terme la troisième guerre mondiale. Le
sionisme international et leurs coreligionnaires de par le monde sont
déterminés à utiliser les USA une fois de plus afin de garder la Palestine en
tant que tremplin de leur domination du monde. Cela est aussi vrai que je suis
ici debout. N’étant nullement le seul à l’avoir lu ; mais nombreux ici parmi
vous, ceux qui le savent aussi et cela est connu à travers le monde.
Qu’allons donc nous faire ?
La
vie que vous sauveriez sera peut être celle de votre propre enfant ; votre fils
est peut être sur le chemin de la guerre ce soir et vous ne le savez pas. Comme
d’ailleurs vous ne saviez pas qu’en 1916 à Londres, les sionistes firent un
pacte avec le British War Cabinet, afin d’envoyer vos fils combattre en Europe.
Le saviez vous alors ?
Personne aux USA ne le savait. Il ne vous était pas autorisé de le savoir. Qui le savait ?
Le président Wilson le savait, ainsi que le colonel House. Quelques
autres hauts placés étaient au courant.
Est-ce que je le savais ?
J’avais
une idée assez précise sur ce qui se tramait.
J’étais ’’attaché’’ à Henry Morgenthau
Sr, durant la campagne présidentielle de 1912
qui vit l’élection du président Woodrow Wilson. Les choses se faisaient
savoir dans les bureaux.
J’étais à la
fois, bras droit de H.Morgenthau Sr, président du comité de finance et aussi
’’attaché’’ entre lui et Rollo Wells, le trésorier. Je fus assis dans toutes
les réunions dirigées par le président Wilson siégeant en bout de table ; ainsi
que tous les autres. Et je les entendais rabattre les oreilles du président
Wilson avec ce qui allait s’appeler la
taxe sur le revenu, ainsi que ce qui devait devenir les Réserves Fédérales, en
passant par l’endoctrinement sur le mouvement sioniste. Le juge Brandeiss et le
président Wilson étaient aussi proches que les deux doigts de ma main. Le
Président Wilson n’était juste qu’un incompétent quand il fallait déterminer
une situation et se faisait diriger comme un enfant. C‘est de cette
façon qu’ils nous embarquèrent dans la première guerre mondiale. Alors que nous
étions dans un profond sommeil, ils envoyèrent nos enfants là bas pour se faire
massacrer. Dans quel but ?
Pour que les juifs puissent avoir la Palestine comme colonie. Ils vous
ont tellement roulé dans la farine que vous ne savez plus où vous en êtes.
Comme l’exemple d’un juge s’adressant au jury dirait : « Messieurs, si
jamais un témoin est prouvé avoir menti, alors veuillez rejeter tout son
témoignage. » Je ne sais pas de quel
Etat vous venez, mais dans l’Etat de New York c’est comme cela que ça se passe.
Si un témoin dit un seul mensonge ; alors tout son témoignage sera rejeté.
Quels sont les faits au sujet des juifs ?
Je les
appelle juifs, juste pour vous ; car ils vous sont connus comme juifs. Mais je
ne les appelle pas juifs moi-même ; je m’en réfère en tant que ’’soi disant ’’
juif. Tout simplement parce que je sais
qui ils sont réellement.
Les juifs d’Europe de l’Est
-composant 92 pourcent de l’entière population s’auto désignant ’’juif’’ sont à l’origine ’’Khazar’’. C’était une
tribu belliqueuse vivant aux confins du territoire asiatique. Un peuple si
hostile que même les Asiatiques les chassèrent hors d’Asie vers l’Europe de
l’Est. Là, ils établirent un grand royaume Khazar de plus de 1 300 000 kilomètre carré. En ce
temps là, la Russie n’existait même pas ; pas plus d’ailleurs que la plus part
des pays d’Europe. Le royaume Khazar était le plus grand pays d’Europe ; si
grand et si puissant que les autres monarchies voulant entreprendre une guerre
s’appuyaient sur les Khazars qui pouvaient leurs louer une armée de soldats.
C’est vous dire combien ils étaient puissants. Ils étaient païens et exerçaient
le culte Phallique ; ce qui est immonde et répugnant et de ce fait je ne
voudrais plus m’avancer sur ce sujet maintenant. Mais c’était bel et bien leur
religion, ainsi qu’elle fut la religion d’autres païens et barbares en ce temps
là.
Le roi
des Khazars devint tellement dégoûté de la dégénérescence de son royaume qu’il
se résolut à adopter une soi disant confession monothéiste. Entre soit la
Chrétienté et l’Islam, ou ce qui est
connu sous le nom de Judaïsme qui est vérité est le ’’ Talmudisme’’. En
choisissant par pur hasard le choix du roi se porta sur ce qui est communément
appelé le Judaïsme qui advint la religion d’Etat. Il envoya donc des gens
étudier aux écoles talmudiques de Pumbedita et Sura et fit ramener des milliers
de Rabbins, ouvrit des synagogues et des écoles et son peuple devint ce qu’on
appelle maintenant ’’juif’’. Mais il n’y avait parmi eux aucun qui n’eut jamais
mis le pied en terre sainte. Il n’y avait parmi ce peuple aucun dont l’ancêtre appartenait
à l’histoire du vieux testament. Absolument pas un. Et ils ont l’audace de
s’adresser aux chrétiens et de leur demander de supporter une invasion armée en
Palestine en prétendant : ’’Vous voulez aider à rapatrier le peuple élu de
Dieu vers leur terre promise, leur foyer ancestral, n’est ce pas ? C’est votre devoir de chrétien. Nous vous avons
donné un de nos enfants comme votre Dieu et Seigneur ; vous allez à l’église
tous les Dimanches et vous vous agenouillez pour adorer un juif et nous sommes juifs’’.
Alors que ce ne sont que des païens convertis au Judaïsme ; comme les
Irlandais se convertirent au Christianisme. Il est juste ridicule de les
appeler ’’peuple de terre sainte’’ ; comme il serait tout aussi stupide
d’appeler les quelques 54 millions de chinois musulmans, des ’’Arabes’’.
Mohamed (SAS ndt) mourut en 632 et depuis ce temps donc, plus de 54 millions de
chinois à présent ont accepté l’Islam comme foi. Maintenant imaginez que ces
plus de 54 millions de musulmans de Chine soudainement décideraient de
s’autoproclamer ‘‘Arabe’’ ; vous diriez qu’ils sont lunatiques. Quiconque
penserait que ces 54 millions de chinois sont arabes, doit être simplement
dérangé. Parce que tout simplement ils n’ont fait qu’adopter la foi qui prend
origine à la Mecque en Arabie. Tout comme l’avaient fait les Irlandais quand
ils devinrent chrétiens ; personne ne les avait jetés à l’océan ou bien avait
importé une nouvelle espèce d’habitant. Ils ne devinrent un différent peuple en
quoi que ce soit. Mais seulement le même peuple ayant accepté le christianisme
comme confession. Ces Khazars donc, ces païens, ces asiatiques, ces turcos
finnois étaient une race à la base mongoloïde qui fut chassés d’Asie vers
l’Europe de l’Est. Après que leur monarque épousa la confession judaïque, ils
n’avaient plus de décision en la matière et durent se soumettre à la même foi.
Comme en Espagne, si le roi était catholique alors tout le monde devait l’être
; sinon il fallait quitter le territoire espagnol. Voila comment les Khazars
devinrent ce qu’on appelle aujourd’hui
’’juif ’’.
Maintenant imaginez combien
ridicule est ce pour les grandes nations chrétiennes du monde d’affirmer : «
Nous nous engageons à utiliser notre pouvoir et notre prestige afin de
rapatrier le peuple élu de Dieu vers leur terre promise, leur ancestral foyer.
» Peut-il
avoir un plus grand mensonge que celui là ?
Tout simplement parce que contrôlant les journaux, les magazines, la
radio, la télévision, l’imprimerie du livre, et surtout parce qu’ils dictent le
prêche du clergé ainsi que le discours politique, qui d’ailleurs ont le même
langage. Ce n’est donc pas étonnant que l’on croie ce genre de mensonge. Pareillement
vous croiriez que le blanc est noir si vous l’entendiez assez souvent ; vous ne
pourriez plus appeler noir, le noir ; vous accepteriez d’appeler le noir,
blanc. Et personne ne
pourra vous le reprocher. Ceci est un des plus grands mensonges que l’histoire
ait connus. C’est la base de la misère qui dévore le monde.
Savez vous ce que font les juifs le jour de
l’Atonement que vous croyez si sacré pour eux.
Je fus un des leur. Ce ne sont en aucun cas des ragots que l’on m’aurait
rapportés ; je ne suis pas venu ici afin de raconter des histoires, ou bien
pour propager une rumeur ; je suis ici dans un seul but qui est celui de vous
exposer des faits. Quand
le jour de l’Atonement arrive ; vous entrez dans une synagogue, puis vous vous
tenez debout pour la toute première prière qu’on récite. C’est la seule prière
faite dans une position debout ; et vous répétez trois fois une courte prière
appelée ’’Kol Nidre’’. Dans cette prière vous liez un pacte avec Dieu tout
puissant ; où, quelque soit le serment, l’agrément, ou bien l’accord qui se ferait dans les douze
mois à venir se verrait être nul, sans effet, caduc, et ne serait en aucune
condition honoré. Le serment n’a pas lieu d’être respecté ; l’accord ne sera
pas suivi ; la parole donnée ne
sera en aucune mesure tenue. Tout engagement n’aura ni effet ni force. Par ailleurs le Talmud stipule que,
quelque soit la parole d’honneur donnée, ou bien l’accord entreprit, on doit de
se rappeler le ’’Kol Nidre’’ ; prière récitée le jour de l’Atonement. Ainsi,
automatiquement celui qui la récite se verrait totalement absout de toute conséquence et serait de ce
fait déchargé de toute obligation de respecter sa parole.
Donc, comment voulez vous dépendre de leur loyauté ; apparemment comme y
dépendirent le peuple allemand en 1916. Nous récolterions les mêmes fruits
empoisonnés, nous souffririons des mêmes vicissitudes que souffrirent les
Allemands, et pour les mêmes raisons.
La Tyrannie
cachée
(Traduit du livre: The Hidden tyranny)
Ce document de Benjamin Freedman révèle des événements
peu connus, qui en vérité ont déterminé
l’histoire du monde durant ce 20ieme siècle. Vous serez peut être choqués
d’apprendre pourquoi les USA entrèrent la
première guerre mondiale, et même
sidérés quand vous considérerez que le destin du monde a été décide par un
’’coureur de jupon,’’ qui ne pouvait pas se passer de femme mariée, et qui confronté a la possibilité d’être
dénoncé, ne fut pas assez courageux pour
affronter ses maîtres chanteurs ou de les envoyer au diable.
Une confirmation des accusations sus mentionnés se
trouve pages 139-141 du livre : « My exploited father in law, » de
Curtis B.Dal (Christian Crusade publication, Tulsa, Oklahoma,) ainsi que pages
20-23 du livre « When the Cheering stopped » de Gene Smith
(Morrow&Co. New york.)
Benjamin Freedman s’est rendu actif en politique très
jeune et a fréquenté de très importantes personnalités, il côtoya d’affiler sept présidents
américains et fut même familier avec eux. Il fut par ailleurs une importante
figure du monde industriel, jusqu’ à
devenir une certaine période, le principal propriétaire de la « Woodbury
Soap Company.»
Quoique élevé en tant que juif, l’auteur devint dégoûté de leur
hypocrisie et du judaïsme au point
devenir un fervent chrétien.
Les noms des présidents Woodrow Wilson, Franklin D.
Roosevelt, Harry S.Truman, Dwight D. Eisenhower, John .Kennedy, Lyndon
B.Johnson et Richard M.Nixon seront certainement un jour trouvés gravés en
grandes lettres majuscules rouges dans les annales officielles de la grandeur
et la chute des USA. Ces sept maîtres de la déception se sont rendu coupables
d’avoir trahis le serment solennel prêté à leur haute fonction officielle de
respect des principes secrets de politique générale ; ceci sans aucun scrupule ni hésitation, juste
afin d’atteindre leur intérêt politique totalement insouciants de la menace qui
pèse sur la sécurité et la survie des USA.
Ces sept maîtres de la déception ont-en toute,
préméditation et connaissance de cause et d’effet- ’’empoisonné le puits de la
sécurité et de la survie des USA’’.
Sans aucun scrupule apparent, ils ont à tour de rôle, trahis la
tradition sacrée gravée dans la lettre et l’esprit de leur serment solennel
prêté à leur mission officielle, ce précieux héritage légué comme testament à
chacun de ces sept maîtres de la
déception, en tant que haute fonction exaltée par l’immortalisé premier
président des USA, le vénéré George Washington.
Les révélations qui suivent, sont maintenant faites
pour la première fois au peuple américain. La stratégie secrète «
antiaméricaine » « non américaine » adoptée en toute connaissance de cause par
ces sept maîtres de la déception,
l’exercice incontrôlé de cette stratégie est en grande partie
responsable de la situation désespérée et dangereuse que vit aujourd’hui les USA dans le Moyen
Orient.
Très tôt dans leur carrière politique, ces sept
maîtres de la déception, par leur détermination, acquirent l’habilité à détecter le meilleur
moyen d’atteindre leur but. Leur remarquable perfection dans ce style explique
le pourquoi et le comment de l’évolution haute et rapide de ces sept maîtres de la déception au long des
années que forma le monde politique à qui ils appartenaient.
Tout au long de leur carrière politique ces sept maîtres de la déception
démontrèrent que leurs combines politiques s’identifient invariablement aux
dogmes des politiciens du vingtième siècle, qui prêchent et pratiquent la
notion de « la fin justifie les moyens. »
Inéluctablement, la future
population de base américaine trouvera un jour gravé dans l’histoire de la
grandeur et la chute des USA, le verdict révélant que les ‘‘ moyens’’
précisément insinués par ces sept maîtres de la déception, était primordialement responsable de la
’’fin’’ des USA.
C’est de nous jours un fait réel dans les cercles
politiques américains, que la censure exercée par les sionistes sur les mass
média constitue un monopole virtuel. C’est par ailleurs un fait réel et reconnu
dans les milieux politiques américain, et ceci depuis l’élection de Woodrow
Wilson à la présidence de 1912, que la victoire aux élections américaines est
rarement remportée ou perdue en fonction des compétences du candidat postulant.
Les élections américaines depuis 1912, sont gagnées ou perdues à l’issue
d’une bataille médiatique par assassinat politique interposé.
Les manias sionistes
de l’information ou bien les sociétés sous contrôle sionistes,
effectivement et réellement, monopolisent et censurent l’information et la
déontologie, aussi bien des principaux journaux quotidiens, hebdomadaires,
mensuels, que de la radio et de la télévision, en passant par l’industrie
cinématographique et de la publication du livre ; en d’autre termes, tout le
complexe médiatique et de l’information américaine n’est qu’un système de
lavage de cerveau.
Les Juifs sionistes
contrôlent l’information et réglementent les mass média. Le résultat de ce conditionnement
est que, depuis cinquante ans, le peuple
américain, ne fait que lire,
écouter, et voire, ce que filtre
la censure sioniste et sert au mieux son intérêt ; au lieu de lire,
d’écouter, de voir, ce que servirait le mieux les intérêts de la
population américaine. Les mass médias américains, dirigés par les sionistes
n’ont jamais informé la population américaine,
de la cause et de l’origine de l’engagement américain, par le président Woodrow Wilson, au Proche Orient, où
aujourd’hui elle se trouve dans une impasse totale. Dans
la délibération rendue relative aux sois disant vols de document du Pentagone,
la cour suprême américaine a déclaré : « Le public a le droit de connaître
la vérité. » La cour suprême aurait du dire : « Le public a le droit de connaître ’’
toute’’ la vérité. » Parce que une
demi-vérité est souvent pire qu’un mensonge.
Les USA déclarèrent la guerre à l’Allemagne le 6
Avril 1917. Dés le 2Avril 1917 ; c’est
le président Wilson qui s’adressant à la
chambre des représentants et au Congrès leur demanda de déclarer la guerre à
l’Allemagne. Cette demande faite au
Congrès était en vérité ’’le prix à payer’’
par le président Wilson à ses maîtres chanteurs. Les faits qui vont être
mentionnés ci dessus confirmeront irréfutablement ces révélations et répondront
à tout genre de question en ne laissant place à aucun doute.
Les mains du président Wilson tremblaient durant ce
discours. Les membres du Congrès n’avaient aucune raison de se douter de ces
tremblements de mains. En finissant de lire l’explication on comprendra
aisément la cause du tremblement de mains du président. A la fin de ce
discours, un grand nombre de l’assemblé
présent tomba en larme ; mais pas pour les mêmes raisons qu’auraient certains
lecteurs à tomber en larme à la fin de ce livre.
Le président Wilson demanda au Congrès de
déclarer la guerre à l’Allemagne, ayant pour unique but de régler la dette
qu’il s’était contracté auprès des sionistes. Le congrès déclara la guerre à
l’Allemagne juste parce que le président Wilson les informa qu’un sous marin
allemand avait coulé le navire Sussex au
large des cotes anglaises, et donc en
totale violation des lois internationales,
ceci causant la mort de citoyens américain à bord.
Ce
n’est seulement qu’après que les troupes américaines du général Pershing
cessèrent de se battre en Europe que ‘‘le pot au rose’’ fut découvert. La soi
disant attaque contre le SS. Sussex n’était qu’un prétexte permettant l’entrée
en guerre des USA contre l’Allemagne.
Le Navire SS. Sussex,
n’a jamais été coulé et aucun américain n’avait péri à bord. Les
USA était d’ores et déjà en guerre en Europe aux cotés des britanniques.
C’est toute fois ce que les Britanniques et les
sionistes internationaux conspirèrent de réaliser dans leurs combines
diplomatiques corrompues. La découverte du ‘‘coup de bluff ’’ par la marine
britannique choqua de nombreuses personnalités anglaises.
Une partie importante du public britannique fut tout aussi choquée
d’apprendre que le SS.Sussex n’a jamais été coulé. Par ailleurs ce navire fut ouvert à la
curiosité du public qui l’inspecta de ses propres yeux.
Durant cette guerre les USA mobilisèrent 4 734 991,
où 115 516 trouvèrent la mort, et 202 002 furent blessés gravement ou
handicapés à vie.
Francis Neilson, un membre britannique du parlement
et de la chambre des Lords, écrivit un
livre intitulé : « Makers of wars »
Ce livre engendra un tel tolet en Angleterre que son auteur fut contraint de démissionner de sa fonction au sein du
parlement. La situation fut tellement intolérable et invivable pour M. Nielson, du fait des révélations contenues dans son
livre, qu’il du quitter l’Angleterre
pour se réfugier en Amérique.
Dans ce livre, l’auteur dévoile
de nombreux secrets et raisons cachés qui sont à l’origine de l’entrée en
guerre des USA en août 1914. Quant à la soi disant attaque du SS.Sussex,
Nielson souligne : « En Amérique, Woodrow Wilson désespéré de présenter un
prétexte valable à une entrée en guerre, la trouva au moins dans l’attaque du
Sussex. Quelqu’un inventa une histoire où des vies américaines avaient été
perdues. Muni de cette excuse, il alla au Congrès pour une déclaration. En fin
de compte la marine ne constata ni attaque ni perte humaine. »
L’auteur fit la traversée vers l’Angleterre à maintes reprises à
bord du navire Sussex. Cette soi disant attaque n’était que le fruit d’une
imagination sioniste saturée.
Cette attaque bidon, fut élaborée
par une pensée sioniste afin de faciliter un plan orchestré et exécuté à
merveille.
Le président Wilson
victime d’un chantage. Peu
de temps après que le président Wilson inaugure son premier mandat, il eut la
visite d’un certain Samuel Untermeyer. M. Untermeyer était un avocat
new-yorkais renommé qui par ailleurs finança généreusement le parti National
Démocratique responsable de l’installation de Woodrow Wilson à l’élection
présidentielle de 1912. Untermeyer était un invité hautement estimé et le
président était ravi de le recevoir à la Maison Blanche. Les deux hommes
s’étaient déjà rencontrés durant la compagne présidentielle.
Untermeyer surpris le président quand il lui apprit le vrai motif de sa
visite. Untermeyer l’informa qu’il a été chargé d’entamer un genre de procédure
légale contre lui ; procédure qui se basait sur une révélation et que son
client était prêt à accepter une somme de $40 000 pour annuler cette action légale. Ce client était l’ex
femme d’un professeur de l’université de Princeton, du temps où M. Wilson
enseignait à cette même université.
Untermeyer avait apporté une pile de lettres, toutes écrites par le
Président Wilson à la femme de son collègue du temps où ils habitaient le même
voisinage de la Princeton University.
Ces lettres révélaient la liaison adultérine existant entre le président
Wilson et l’épouse de son collègue. Il lui avait écrit de nombreuses lettres
‘‘idylliques’’ dont elle a conservé la grande majorité. Le président reconnut
ses écrits après en avoir lu quelques-unes unes.
Le président Wilson quitta l’université de Princeton
pour devenir le gouverneur du New jersey.
En 1912 il fut élu pour un premier mandat à la présidence des USA. Entre
temps l’ex ‘‘maîtresse’’ du président
divorça de son premier mari et se remaria par la suite. Son deuxième
mari habitait Washington et avait un fils employé à une banque de Washington.
Untermeyer expliqua au président que son ex ’’maîtresse’’ était très attachée à
son beau-fils ; qui lui avait des problèmes financiers se trouvant dans l’impossibilité de régler
une dette de $40 000 qu’il devait à la banque qui l’employait. Au point que les
détails étaient peu importants dans ce cas précis, à part que ce fils avait un
besoin urgent et pressant de cette somme. Si bien que cette ex-maîtresse du
président, vit en lui la solution idéale pour l’obtention de cet argent.
En d’autres
termes donc, Untermeyer visita le
président Wilson à la Maison Blanche juste pour l’informer du contentieux juridique qui se dessinait. Le
président lui avoua qu’il se sentait soulagé du fait que cette ex-maîtresse se
soit adressée à M. Untermeyer en tant que conseiller. La mauvaise publicité eut
été embarrassante si cette dame avait consulté un avocat républicain.
D’emblée le président informa M. Untermeyer qu’il ne
possédait pas cette somme d’argent.
M. Untermeyer lui
suggéra d’y réfléchir plus sereinement ; tout au moins jusqu’à une prochaine
visite qu’il effectuera ultérieurement.
M.
Untermeyer séjourna durant cette attente à Washington afin de vérifier la
véracité de la crise financière du fils en question. Effectivement, il appris
que toute l’affaire était belle et bien réelle.
Comme convenu Mr Untermeyer retourna à la Maison
Blanche pour voir le président Wilson ; celui-ci n’hésita pas à l’informer qu’il n’avait pas la somme demandée par ses maîtres chanteurs ;
toutefois il semblait irrité. Après quelques instants de silence, M. Untermeyer
se porta volontaire pour régler le problème. Il s’engagea de ce fait à fournir
la somme de sa propre poche et donc de faire taire l’ex maîtresse. Mais sous la
condition que le président Wilson lui promette de désigner à la cour suprême
américaine, un nominé qu’il le lui
aurait lui-même préalablement recommandé ; et ceci au prochain poste
vacant.
Le président Wilson accepta le marché. M. Untermeyer paya donc les $40
000 au maître chanteur, en l’occurrence
l’ex maîtresse, qui en fin de compte
annula la procédure judiciaire. Mr Untermeyer garda en sa possession la pile de
lettre. En fin de compte le président Wilson lui fut des plus reconnaissant
pour s’être donné tellement de peine.
M. Untermeyer était richissime ; le bureau d’avocat
new-yorkais qu’il dirigeait, M&M. Guggenheim Untermeyer and Marshall est,
jusqu’à nos jours, un des plus prestigieux et prospère bureau d’avocat. M. Untermeyer
fonda la Bethlehem Steel Company pour un de ses amis, Mr Charles Schwab, qui
quitta la société nationale américaine des aciers ; pour fonder sa propre
compagnie qui devint la principale rivale de la première.
Le juge Brandeiss,
pour renvoyer l’ascenseur.
Comme tout un chacun pourrait l’imaginer et à juste titre,
Untermeyer avait quelque chose derrière la tête quand il se porta volontaire
pour régler la dette de $40 000 à la maîtresse du président Wilson. Il le fit
dans l’espoir de voir se réaliser un vieux rêve, un juif sioniste parmi la cour
suprême américaine, où aucun juif n’avait encore servi.
Le jour arriva
bientôt où le président se vit obliger de désigner un nouveau nominé à la cour
suprême. M. Untermeyer recommanda donc Louis Dembitz Brandeiss pour le poste
vacant ; qui fut nominé sur le champ. Président Wilson et le juge Brandeiss
devinrent du jour au lendemain ’’de vieux amis’’. Evidemment le juge Brandeiss
était au courant des causes de sa nomination à ce poste.
En 1914, le juge Brandeiss était le plus important
parmi les sionistes américains influençant. En tant que juge de la cour suprême,
Brandeiss était plus que jamais en position idéale d’œuvrer pour la cause
sioniste juive, aussi bien de
l’intérieur qu’à l’étranger. La première occasion de rendre un immense service
pour ses comparses sionistes venait de se présenter.
Le juge Brandeiss proposa donc son opinion au président, à savoir que
l’attaque du SS.Sussex par un sous-marin allemand entraînant la perte de vie
américaine, justifiait de ce fait l’entrée en guerre de l’Amérique contre
l’Allemagne.
Dépendant en grande partie de l’opinion juridique de Brandeiss, le président
Wilson s’adressa donc aux deux chambres du Congrès le 2 avril 1917.
Et ce n’est qu’après que l’accord de Londres
d’octobre 1916 fut conclu entre le British War Cabinet et l’organisation
sioniste mondiale que le sionisme international espéra la venue d’un accident
majeure qui eut justifié l’entrée en guerre des américains contre
l’Allemagne.
La déclaration de guerre américaine contre
l’Allemagne garantissait aux sionistes que la Palestine leur serait offerte en
cas de défaite allemande. Cette défaite serait quasi certaine si l’Amérique
pouvait être embarquée dans le conflit.
Il faut souligner qu’avant l’accord de Londres d’octobre 1916 les
sionistes de par le monde étaient tout pro Allemand.
L’édit d’émancipation de 1822, en Allemagne,
garantissait aux juifs toutes les libertés civiles dont jouissait le peuple
allemand lui-même. N’oublions pas qu’à cette époque l’Europe entière
réglementait l’activité sociale des juifs en utilisant le système des ‘‘quota’’
; en vigueur depuis plusieurs siècles à
travers l’Europe.
Durant
des siècles donc, ce système limitait,
réglementait et régulait le développement de la société juive qui ne lui était
permis d’exercer une quelconque activité qu’à un faible pourcentage comparé à
celui de la population chrétienne. Cela comprenait toutes les catégories et
classes sociales. Après l’édit d’émancipation de 1822, l’Allemagne était le
seul pays d’Europe qui abolit toute inégalité sociale en matière de quota à l’encontre des juifs qui
avaient été privés de tout droit civil.
Un télégraphe de confirmation fut envoyé de par le monde aux sionistes
pour les informer de l’accord de Londres. Cette nouvelle fut en quelque sorte
une ’’mutation’’ qui les transforma de
pro Allemand en pro Anglais. Les
sionistes anglais eurent à leur entière disposition à Londres, les codes
secrets britanniques et télégraphes internationaux leur permettant de contacter
le sionistes de par le monde afin de les informer du pacte britannique ayant
trait à leur concéder la Palestine comme compensation à leur effort pour faire
intervenir les USA dans la guerre.
En 1916, un
grand nombre de sionistes s’engagèrent dans le ministère de la défense
britannique. Leur mission était d’anticiper la transformation de tous les
sionistes pro Allemand en pro Anglais. Après l’accord de Londres de 1916, la Grande Bretagne usa de tous les moyens
pour convaincre les sionistes du monde
d’officialiser le pacte prévoyant
de leur donner la Palestine pour
devenir leur futur état souverain sioniste.
Le 2 avril 1917, le président Wilson s’adresse en
session commune aux deux chambres du Congrès. Utilisant les recommandations
du juge Brandeiss ; il prétexte
que l’attaque par la marine allemande du S.S.Sussex justifie une
déclaration de guerre contre l’Allemagne selon les lois internationales. Dans
ce discours le président Wilson demande au Congrès de déclarer la guerre à
l’Allemagne.
Le 6 avril 1917, le Congrès siège et décide de
déclarer la guerre à l’Allemagne sans la
moindre justification.
Ce même 6
avril 1917, le Président Wilson et le
juge Brandeiss, étaient au courant d’une
information que le peuple américain ne savait pas ; l’accord de Londres
d’Octobre 1916. Ils savaient en outre
que l’entrée en guerre de l’Amérique était le résultat de cet accord, les sionistes internationaux aussi
attendaient impatiemment au virage pour encaisser leur récompense qui était la
Palestine, tout cela bien sur si le plan se déroulât comme prévu. Durant toujours ce même jour le
président Wilson et le juge Brandeiss savaient, et là ils étaient vraiment les
seul, une chose que personne ne savait. Cette entrée en guerre de l’Amérique
déchargeait complètement le président Wilson de sa dette envers ses maîtres
chanteurs qui dés lors s’en satisfaisaient.
Rarement on eut une requête présidentielle d’une
telle intensité, enflammant non
seulement le peuple américain mais aussi le monde, que cette déclaration de guerre du 2 avril
1917. Durant ce discours, le
président Wilson était parfaitement conscient de l’innocence totale de
l’Allemagne, et qu’en aucun cas elle
n’avait commis un acte justifiant une entrée en guerre de l’Amérique.
L’auteur de ces lignes côtoyait
le président Wilson durant cette période même ; et ne se priva pas de
l’informer sur ce sujet, juste avant
qu’il ait lu son discours au Congrès.
Le Premier ministre
britannique Lloyd George, une
marionnette sioniste. L’accord de Londres
d’octobre 1916 suscita un grand doute de la part de beaucoup de sionistes qui
doutèrent de sa véracité ; trouvant difficile à avaler la promesse britannique de
leur concéder la Palestine pour leur coup de main à monter l’Amérique contre
l’Allemagne. Effectivement ces sionistes croyaient peu probable que
l’Angleterre puisse promettre à quiconque quelque chose qu’il ne lui
appartenait pas. Cela leur paraissait inconcevable du fait de la réputation de
l’Angleterre et de son respect du droit de la propriété sous ses lois. Pour
effacer ce doute de l’esprit des sionistes américains, le Premier ministre britannique Lloyd George
chargea à la hâte, M. Josuah Wedgewood
d’une mission en Amérique.
Wedgewood était un des plus réputés et fervent membre du parlement
britannique.
Mais il serait utile de rappeler quelques étapes menant à cet
évènement.
Le 4 décembre 1916,
à la surprise générale, on vit la désignation d’un nouveau Premier
ministre britannique, Lloyd George
; zélé et ardent sioniste. Le précèdent
Premier ministre, était, semble
t’il, antipathique aux goûts des
sionistes qui s’en débarrassèrent, car
ne pouvant pas le manipuler à leur guise.
Le 5 décembre 1916, Lloyd George, pressé par les sionistes londoniens, poussa Wedgewood à se rendre en Amérique.
Le 5 décembre 1916, Lloyd George, pressé par les sionistes londoniens, poussa Wedgewood à se rendre en Amérique.
En octobre 1916,
l’Angleterre n’avait aucun espoir de victoire. La capitulation était sérieusement
considérée. L’Allemagne avait fait plusieurs offre de paix à l’Angleterre afin
d’interrompre le conflit. Cette mission
forcée et hâtive de Wedgewood, était des plus vitale pour la survie même de
l’Angleterre, aux yeux de Lloyd. M.
Wedgewood avait pris la précaution de se munir de tous les documents prouvant
cet accord pour les présenter devant les sionistes américains.
Colonel House, une
énigme conspiratrice. Le
23 décembre 1916, Wedgewood débarquait en Amérique et fut reçu à même le quai par le Colonel Edward Mandel House,
le plus proche ami du président Wilson,
et son plus fidèle conseiller. Durant son séjour new-yorkais, Wedgewood
a partagé la résidence de la 54ieme rue du Colonel House avec ce dernier.
Durant sa jeunesse le Colonel House faisait le négoce du coton américain
pour le compte des Rothschild. Le Colonel House lui-même n’a ni démenti ni
confirmé ses origines juives à l’auteur. Le Colonel House s’était chargé
d’arranger le rendez-vous où les preuves de l’accord d’octobre 1916 seraient
exposées. Cette rencontre devait avoir lieu un dimanche après midi, en l’occurrence le 25 décembre à l’hôtel Old
Hotel Savoy situé entre la 29ieme et la 5ieme Avenue à New york. L’audience
était composée de 21 juifs sionistes, tous attendant que le Colonel House leur
présente Wedgewood. Ce dernier présida donc la séance, exposant toutes les
preuves qui effaçaient les doutes des 21 juifs, concernant le fameux accord de
Londres de 1916. Représentant le Premier ministre britannique Lloyd
George, Wedgewood avança encore plus de
garantie à la promesse britannique d’octroyer la Palestine aux sionistes comme
compensation de leur aide fournie pour l’engagement américain contre
l’Allemagne. Le premier effet direct de l’accord de Londres fut que
l’Angleterre pria les juifs anglais de prendre plus de responsabilités et
d’activités au sein du ministère de la défense,
et ceci tant que la guerre durera. Ceux qui acceptèrent cette offre
furent tous formés à l’utilisation des réseaux télégraphiques et diplomatiques
ainsi que des codes de transmission britannique. Les archives britanniques
concernant la première guerre mondiale effaceront toute spéculation, à savoir si les commanditaires du message télégraphique de la
soi disant attaque du S.S.Sussex étaient bel et bien des juifs du ministère de
la défense qui l’envoyèrent à leurs homologues américains. Les documents à ce
sujet sont formels. Le canular de la soi disant attaque du S.S.Sussex et la
perte de vies américaines à bord ne fut que l’invention de la juiverie
britannique du ministère de la défense ayant pour but d’engager l’Amérique à
entrer en guerre contre l’Allemagne. Ce ‘‘coup de bluff’’ fut découvert par la
marine britannique et confirmé par des sources officielles d’experts
américains. Bien sur, l’accord de
Londres fut connu de l’Allemagne le lendemain
de sa signature, en vérité le
jour même. Implicitement, l’Allemagne
redoubla de vigilance aussi bien en mer qu’en terre, et s’appliqua à ne pas commettre d’actes
violant les lois internationales justifiant une entrée en guerre américaine aux
cotés des alliés. Le commandement militaire allemand prit toutes les mesures
afin de ne pas faire intervenir l’Amérique dans le conflit, et ils se révélèrent excellentes.
Durant la crise d’octobre 1916, l’Allemagne,
et à juste titre, réalisa que si
cette guerre pouvait tenir quelques mois de plus sans l’entrée de l’Amérique ;
l’Angleterre serait contrainte de capituler. L’Allemagne fit une fois de plus
une offre de paix en octobre 1916. Cette fois ci l’Angleterre considéra
sérieusement l’offre puis soudainement la refusa comme toutes les autres.
En référence à la déclaration de guerre américaine contre
l’Allemagne, Winston Churchill déclarait
dans une interview du fameux Scribner’s Commentator de 1936 : « Je ne
comprendrai jamais pourquoi Wilson nous mis dans un tel pétrin en 1917. » Lors
de cet interview il déclara : « L’Amérique n’aurait jamais du s’immiscer
dans la première guerre mondiale. Sans l’intervention américaine les alliés
étaient tous contraints à accepter les propositions de paix allemande dés le
printemps 1917. A ce moment précis la paix aurait évité ; l’effondrement de la
Russie suivi du communisme ; la chute de l’Italie suivie du fascisme ; et
l’humiliant traité de Versailles signé
par l’Allemagne, engendrant le
nazisme.
Si l’Amérique s’était tenue à l’écart de la guerre, tous ces ‘ismes’ ne
seraient pas apparus en Europe,
renversant les gouvernements parlementaires d’une part, et aurait épargné la vie de plusieurs
millions de britanniques, français et
américains. » L’offre
de paix allemande n’exigeait aucune indemnité ni réparation. L’Allemagne
s’engageait à retourner les statuts territoriaux et indépendance politique de
tous les pays alliés à la Grande Bretagne,
comme ils étaient avant la guerre de 1914. L’Allemagne ne demandait aucune
réparation.
Les sionistes sélectent
les alliés américains pour la première guerre mondiale.
L’offre de paix allemande d’octobre 1916 était sur la table du
British War Cabinet (Ministère de la guerre britannique) ; il ne lui manquait
plus qu’une dernière signature.
L’Angleterre était sur le point de l’accepter, mais l’organisation juive
mondiale l’en dissuada.
Le British War Cabinet prenait ses instructions des sionistes de
Londres. Au moment même de l’acceptation par l’Angleterre
de cette offre de paix allemande, ils
reçurent l’offre sioniste de faire intervenir l’Amérique à leur cotés. Mais
sous condition ; que la Palestine leur soit octroyée en compensation de leur
aide à l’effort de guerre contre l’Allemagne.
La pression
sioniste était sans aucun doute la plus forte, aussi bien à Londres qu’à New
York. Même le président Wilson n’y pouvait pas grand-chose ; il était comme qui
dirait, prisonnier d’un passé dont les conditions ne pouvait plus être
changées.
Son discours du 2 avril 1917, devait sceller le destin du Monde. Sans
l’ombre d’une hésitation la guerre fut déclarée à l’Allemagne par le congrès
pour les beaux yeux de Woodrow Wilson. Conséquemment les Allemands comprirent
la cause de leur défaite ; ils prirent donc l’accord de Londres comme ’’un coup de couteau dans le dos’’ que leur portait
le sionisme international. Considérant l’édit d’émancipation de 1822, les Allemands voyaient cet acte comme une
double trahison des juifs d’Allemagne.
Les sionistes
promettent la victoire à l’Allemagne puis la trahissent.
Le Kaiser lui-même fournissait à la juiverie internationale des
locaux pour y construire leur état-major et Berlin fut leur capitale mondiale.
L’empereur en personne, sa famille impériale et le gouvernement étaient
constamment à la disposition de Théodore Herzl.
En Allemagne, les juifs réalisèrent des projets dont les autres juifs
d’Europe ne pouvaient même pas rêver. Le Kaiser arrangea personnellement
l’audience que donna le Sultan de l’empire ottoman à Théodore Herzl. Bleichroeder&Company de Berlin
était les banquiers de la famille impériale depuis des générations et ils étaient
juifs. Ainsi que Warburg&Company la plus grande banque de négoce du
monde. En passant par le dirigeant de la compagnie générale d’électricité
d’Allemagne qui était la plus grande entreprise industrielle au monde. La
compagnie Hamburg-America et North German Lloyd, alors les deux plus grandes compagnies de
bateaux à vapeur après la Cunard Line étaient tous dirigés par des
juifs. D’innombrables industriels, banquiers, commerçants allemands de la plus
grande importance étaient juifs. L’attitude allemande envers les juifs
d’Allemagne et du monde s’empira gravement après le coup de couteau dans le dos
de d’octobre 1916.
Samuel Landman, le secrétaire londonien de la juiverie mondiale,
de 1917 à 1922, dans son livre : « La Grande Bretagne, les juifs et la Palestine » publié à Londres en 1936, écrit en page 6 : « Le fait que les juifs
ramenèrent les USA dans la guerre aux cotes des alliés, a eu les pires effets en Allemagne
spécialement dans l’esprit nazi, et a
contribué grandement à l’importance que l’antisémitisme occupe dans le
programme nazi ».
Les
sentiments d’importants dirigeants allemands étaient exprimées dans l’article
du Jewish Telegraph Agency de Berlin,
imprimé le 30 Octobre 1934 dans le journal New-yorkais the jewish
Daily Bulletin : «La nouvelle Allemagne persiste dans l’élimination complète
des juifs, qui furent les instigateurs
de l’entrée des USA dans le conflit où fut défaite l’Allemagne, et qui ensuite causèrent l’inflation
allemande,» a déclaré hier Herr Richard Kunze,
un dirigeant parlementaire nazi,
lors d’une assemblée générale à Megdebourg.
Le 7Aout 1933,
le sionisme international a dégradé encore plus la situation en appelant
à ’’la guerre sainte’’ contre l’Allemagne. Ceci pour faire couler leurs
exportations commerciales dont dépend leur existence. Sous la présidence de
Samuel Untermeyer, la juiverie
internationale déclara un boycotte mondial sur toute production ou prestation
allemande. Il demandèrent même à leurs ’’amis chrétiens’’ de les joindre dans
ce boycotte mondial contre les produits et prestations allemands.
En juillet 1933, la conférence
internationale du boycotte se déroule à Amsterdam, organisée par Samuel
Untermeyer. Il fut élu en ce lieu et jour le président de ’’la fédération
économique de la juiverie mondiale’’.
Depuis 1919
Les sionistes de par le monde essayèrent quoiqu’en vain de faire taire la rancœur allemande contre ceux qui ont poussé
l’Amérique à leur déclarer la guerre sans cause ni justification. Les juifs
furent tenus responsables pour la défaite allemande et conséquemment pour tous
les malheurs résultant de cette défaite.
Ce même 7 août 1933,
le New York Times publiait ce fameux ’’appel à la guerre
sainte’’ du sionisme international à l’encontre de l’Allemagne ; contenu
dans un article de trois colonnes qu’Untermeyer adressa à la nation américaine
à partir des studios de la Columbia Broadcasting System, la nuit
même de son arrivée de l’Europe. Il déclara entre autre : « La guerre
sainte…..dans laquelle nous sommes engagés…..est une guerre qui doit être menée
sans merci….les juifs sont les aristocrates du monde….l’embargo économique de
tous les produits allemands, transports,
prestation….l’embargo est notre seule arme effective….réduire le peuple
allemand à la mendicité, en détruisant
leur commerce extérieure vitale à leur existence même….on doit leur donner une
leçon …..il faut non seulement commander aucun produits en Allemagne…on doit
refuser toute transaction commerciale à quiconque vendrait des produits
allemands…qu’en en finisse avec eux. Ce
discours fut fait le 7 août 1933,
lorsque aucun cheveu de la tête d’un juif n’avait encore été touché dans
toute l’Allemagne. Dés lors, l’Allemagne
entra dans une nuit inflationniste et fut plongée dans une dépression
draconienne difficile à décrire en quelques lignes où tout simplement son commerce extérieur s’arrêta comme par
magie. C’était le seul moyen de pression du sionisme internationale envers les
Allemands afin de les empêcher de révéler la vraie cause de leur défaite. En
Allemagne, les juifs eurent du mal à
faire oublier cette histoire. Les Allemands eurent la même sensation qu’eut
Winston Churchill, parlant de l’entrée
en guerre des USA en 1917.
Le boycotte
sioniste international contre l’Allemagne engendre des crises domestiques.
Le
26 février 1940, le journal canadien Toronto
Evening Telegram, publia un discours
fait par le Rabbin Maurice L.Perlman, chef de la section anglaise du congre
juif international, déclarant : « Le
congres juif international est en guerre contre l’Allemagne depuis sept
ans.»
Le 28 décembre 1951, le National
Jewish Post d’Indianapolis publie une déclaration faite le 25 décembre 1951
par le sénateur Wayne Morse de l’Oregon ou il dit : « Une des principales
raisons de notre entrée en guerre contre Hitler fut la persécution des juifs en
Allemagne. »
L’édition de l’hiver 1951 du
journal new-yorkais Issues,
organe officiel du conseil américain pour le Judaïsme, publiait
un document important, sous le titre « La politique américaine du
Proche-Orient » écrit par le Dr
Donald C.Blaisdell, professeur au
gouvernement à l’Université de New York, où il déclarait : « Aucune minorité, qu’elle soit d’origine irlandaise, allemande,
italienne, polonaise ou
grecque, n’a été en mesure de manipuler
la politique à son avantage, comme le
font les dirigeants sionistes américains. Non plus qu’il ait la lueur d’aucun
moyen de faisabilité politique que le
gouvernement américain puisse placer
comme revendications au nom de son importante clientèle en toute perspective. Autant les juifs
américains, présumés membre de la
clientèle américaine d’Israël ne leur est
jamais permis de l’oublier, ainsi
en est du gouvernement, du congres et de
l’exécutif, qui ne leur est pas autorisé
de se libérer des pressions, propagande
et tout autre pouvoir émanant de la même source sioniste. »
L’auteur a été en position d’observer, et ceci depuis 1912, ce qui se tramait derrière la scène
officielle.
L’auteur a servi durant la campagne présidentielle de 1912 du National
Democratic Comittee qui vit la première élection de Wodroow Wilson à la
présidence. Dés lors, aucune porte ne
lui fut fermée.
L’auteur
a été introduit dans ce milieu en 1890,
sous l’aile protectrice du Docteur Simon Baruch, père de Bernard Baruch ; ce dernier étant un
très bon ami de la famille de l’auteur,
et n’hésitant jamais à consulter l’auteur au sujet de cette situation.
Franklin Roosevelt
manipulé par les sionistes. Le
président Franklin D.Roosevelt était le captif des sionistes le jour même où il
partit pour la ville d’Albany en tant que gouverneur de l’état de New York.
Roosevelt était depuis belle lurette ’’redevable ’’ aux sionistes.
Le
récit étayant les faits marquants utilisés par Roosevelt pour atteler les USA à la situation
catastrophique dans laquelle elle se trouve aujourd’hui embourbée au Moyen
Orient n’est pas une longue histoire en soit. C’est l’histoire qui permit à
Roosevelt d’embarquer les USA dans la deuxième guerre mondiale.
L’Allemagne
et la Pologne avaient accepté la formule laissant l’accès libre tout au long du couloir polonais jusqu’à la ville de
Gdansk (Danzig corridor.)
En 1919, le président
Wilson établit ce couloir polonais qui divisa l’Allemagne en deux
parties. Le but recherché par les
sionistes de l’accord de Versailles était évidemment d’affaiblir l’Allemagne en
la divisant. Ainsi, Wilson et ses
acolytes octroyèrent la bande séparant l’Allemagne, en l’occurrence ce couloir, à la Pologne. Traverser ce couloir de
l’Allemagne de l’Ouest vers l’Allemagne de l’Est, ou vice versa, était comme voyager d’un pays vers un autre.
Les inconvénients, problèmes, retard
causés à l’Allemagne et à la Pologne avaient finalement atteint leur paroxysme
pour enfin trouver une situation d’arrangement éliminant une majorité d’objection
allemande à ce couloir. L’Allemagne et la Pologne s’entendaient sur une base
qui servirait à prévenir une quelconque velléité allemande.
Adolf Hitler
était alors le chancelier allemand. Les sionistes internationaux s’opposèrent à
cet accord à l’amiable entre l’Allemagne et la Pologne concernant le couloir
polonais. L’accès illimité et la circulation entre les deux parties de
l’Allemagne la rendaient une fois de plus, le pays le plus puissant du monde.
Le sionisme international craignit donc le pire. Malgré les obstacles mis sur
leur chemin menant à une solution pacifique de la crise du couloir polonais ;
l’Allemagne et la Pologne acceptèrent finalement une formule. Les préparations
s’amorçaient pour le parachèvement de
cet accord en un traité. Les deux pays étaient satisfaits et la formule servait
les deux gouvernements.
Le 25 août 1939,
peu de temps avant la signature de cet accord, la Pologne secrètement signa un accord avec
l’Angleterre. Dans lequel, l’Angleterre
s’engageait à fournir une assistance militaire ’’avec tout ce qui était en son
pouvoir’’ à la Pologne, en cas d’attaque allemande. Avec une telle garantie de
la part de l’Angleterre, la Pologne
abandonna les négociations avec l’Allemagne. Cette dernière ne pouvait pas
comprendre les raisons de ’’la volte face’’ polonaise et décida donc
d’appliquer à la lettre les closes de l’accord établis avec la Pologne. Ce fut
le début de la deuxième guerre mondiale. La Grande Bretagne intentionnellement
déçut la Pologne à qui elle avait promis une assistance militaire. Depuis le
début, la Grande Bretagne savait qu’elle
ne pouvait pas respecter les promesses données à la Pologne. Ce ’’piège’’ avait
été tendu par la Grande Bretagne à la Pologne, afin de faire saborder les
accords germano-polonais. La discontinuité polonaise inexpliquée des
négociations visant à l’accord du
couloir polonais résulta en une intervention militaire allemande à l’intérieur
de ce corridor sans le besoin de cet accord. La Grande Bretagne savait
précisément ce qu’il allait ce passer ; en l’occurrence, le commencement de la deuxième guerre mondiale,
le reste fait partie de l’histoire. Le sionisme international accueillit à bras
ouvert le déclenchement de la deuxième guerre mondiale, espérant renverser le
régime nazi ; pareillement à ce qu’ils avaient fait durant la première guerre
mondiale en faisant intervenir les USA aux cotes de la Grande Bretagne.
Depuis 1939, Roosevelt fit des mains et des pieds
pour faire intervenir les USA dans ce conflit,
uniquement pour satisfaire les sionistes. Les Allemands avaient appris leur leçon de la
première guerre mondiale et savaient qu’une éventuelle entrée américaine dans
la deuxième guerre mondiale serait des plus désastreuse pour eux. L’Allemagne
s’appliqua à merveille à ne pas déclencher ni violer aucune loi internationale
justifiant une entrée des USA aux côtés des alliés.
Cette situation était des plus défavorable pour Roosevelt ; qui décida
que s’il était impossible de s’immiscer dans ce conflit directement, pourquoi ne pas faire entrer les USA par la
porte de derrière. En d’autres termes en utilisant le Japon. Finalement ce fut
chose faite et le Japon ouvrit la porte de la deuxième guerre mondiale pour
l’Amérique.
Des révélations
choquantes du ministre de la défense Stimson concernant la deuxième guerre
mondiale.
L’Allemagne était liée au Japon par un accord mutuel de défense, où tout attaque contre l’un entraînerait automatiquement une riposte de l’autre qui
devrait lui venir en aide.
Roosevelt avait l’intention de provoquer le Japon ; afin que cette
dernière attaque l’Amérique.
En décembre 1941, le Japon bombardait Pearl Harbor ;
les USA déclarait donc la guerre au Japon et automatiquement était en guerre
contre l’Allemagne. Les notes personnelles du ministre américain de la défense,
Henry L.Stimson et d’autres documents lui appartenant ; se trouvent à la
Bibliothèque de l’université de Yale. M. Stimson tenait un journal de bord, où
tout événement important ou autre, était quotidiennement inscrit de sa propre main. M. Stimson
était le ministre de la défense dans
l’administration Roosevelt. Son journal de bord fut introduit comme pièce à
conviction par le sénat, lors de
l’enquête sur l’attaque de Pearl Harbor, au grand dam des amis de
Roosevelt. Le
25 novembre 1941, donc deux semaines avant l’attaque de Pearl Harbor, M.
Stimson nota que lors d’une réunion matinale à la Maison Blanche présidée par
Roosevelt, celui-ci déclara qu’il souhaitait être en guerre contre le
Japon, mais qu’il ne voulait pas que
cela ait l’impression que les USA ’’ait tiré le premier coup de feux.’’
Les conspirateurs
sionistes provoquent l’attaque de Pearl Harbor.
Roosevelt provoqua intentionnellement l’attaque japonaise de Pearl
Harbor. Car c’est lui qui interdit
personnellement les USA d’approvisionner le Japon en pétrole ainsi qu’en
acier.
Le Japon était en plein milieu de la guerre contre la Chine. Le Japon
était totalement dépendant de ces deux produits américains pour continuer la
guerre.
En 1952, le professeur Charles Callan Tansill, de la chair d’histoire diplomatique à
l’université de Georgetown, écrivit une étude classique intitulée « Back
door to war », qui fut publié par Henry Regnery. Le professeur Tansill
consacra cinq ans après la fin de la guerre à étudier les documents
confidentiels du département d’Etat américain relatifs à la deuxième guerre
mondiale. Ce livre de 652 pages contient d’alarmants faits authentifiés et peu
connus par le grand public au sujet de cette guerre. Avec un travail d’érudit
dont le style est merveilleusement clair, le professeur Tansill a révélé des
faits irréfutables, exposants la responsabilité de Roosevelt dans l’engagement
américain dans la deuxième guerre mondiale. Le désir de Roosevelt de satisfaire
ses amis sionistes influença son jugement. Il négligea qu’en tant que président
du peuple américain il leur devait des comptes. Roosevelt réalisa que pour
espérer un support politique sioniste garantissant un succès certain en
Amérique, il devait imaginer le moyen d’envoyer l’armée américaine combattre
aux cotes des alliés. De là, le doute
est levé sur la responsabilité de Roosevelt d’avoir impliqué les USA à la
situation catastrophique qu’elle vit aujourd’hui au Moyen Orient.
Le président Harry.S.Truman apporta une contribution démesurée à la
situation désespérée dans laquelle se trouve les USA aujourd’hui au Moyen
Orient ; quand il reconnut officiellement en tant que nation souveraine, une
occupation armée en Palestine où 800 000 combattants clandestins transplantés
en Palestine par un complot organisé par le sionisme international.
En 1946, Truman souffrit d’une obsession pathologique le poussant à croire qu’il
devait absolument être élu président des USA en 1948. M. Clarke Clifford,
ministre de la défense sous Lyndon B.Johnson, mérite une grande part de
responsabilité dans la reconnaissance
par les USA de l’état d’Israël.
En juin 1958, la parution de la chronique juive de Londres, célébrant
ses dix ans et celui d’Israël ; publia dans un article de trois pages
l’histoire écrite en 1948 par Eliahu Epstein le représentant américain de
l’agence juive de Washington. Dans cet article, Clifford était apparemment
anxieux ’’d’aider’’, d’autant plus que
le président Truman fit à son proche entourage la confidence exprimant son
souhait de reconnaître l’état d’Israël dés ’’la première heure’’ de sa naissance
; ce qu’il fit d’ailleurs. Le président Truman reconnut la naissance d’Israël,
exactement onze minutes après minuit. Par la suite, Truman avisa l’auteur qu’il
ne voulait plus aborder avec lui la question sioniste dans une quelconque
discussion. Toutefois il écrivit une lettre à l’auteur, l’informant qu’il avait
complètement confié la question palestinienne au juge David Niles. Les
sionistes avaient l’intention d’effectuer leur part du marché après que Truman
eusse reconnut l’état d’Israël. Malgré la probabilité de vingt pour un, contre
son élection en 1948, Truman l’emporta largement sur son adversaire directe, le
gouverneur Dewey, qui lui n’était pas soutenu par l’invisible et invincible
bulldozer sioniste toujours vainqueur. Truman non seulement usa du pouvoir et
prestige des USA ; la contraignant à voir en Israël, un havre de paix et non un régime policier de
déplacés clandestins oppressants les palestiniens ; mais abusa des
contribuables américains en milliards de Dollars de taxes directement injectés
à l’état sioniste la rendant plus puissante. L’admission d’Israël aux Nations
Unies risquait de ne pas avoir lieu par manque de vote, deux précisément. Le
plan était sur le point de tomber à l’eau. En urgence le cardinal Spellman fut
chargé par Charles H.Silver d’effectuer deux voyages en Amérique latine en vue
de changer les votes empêchant l’admission d’Israël aux Nations Unies.
Le 11 juin 1964, les journaux du Monde entier
reprenaient la confession de M. Silver, qu’il avait tue pendant 15ans. Le
secret partagé par Silver et le
cardinal Spellman était simplement, le motif pour lequel le cardinal fut envoyé
par Spellman, pour le compte des sionistes, afin d’aller ’’forcer’’ les deux
pays récalcitrants d’Amérique latine à changer leur vote. Tout ceci ayant pour but de faire admettre Israël dans le cercle
onusien.
L’auteur était un proche et
intime du cardinal Spellman durant vingt cinq ans. Le cardinal Spellman
confessa à l’auteur quelques années auparavant, qu’il se sentait coupable d’un
tort irréparable pour avoir comploté avec le sionisme américain dans le but de
faire introduire Israël à l’ONU. C’est durant le summum de la guerre
arabo-israelite de juin 1967, que le cardinal Spellman, alors seul avec
l’auteur, lui révéla qu’il se tenait personnellement et directement responsable
pour toutes les pertes de vies survenues
lors de cet invasion israélienne sur les territoires arabes de Cisjordanie
(Transjordanie et Jérusalem-Est,) d Egypte (Gaza et Sinaï) et Syrie
(Golan.)
H.J.117 -
Eisenhower marche au pas à la comédie sioniste. L’histoire où le
président Dwight D.Eisenhower engagea les USA à la situation désespérée dans
laquelle elle se trouve aujourd’hui piégée dans le Moyen Orient, n’est pas
compliquée en soi. Les sionistes
américains pressèrent le président Eisenhower de se porter garant d’une
résolution commune du Congrès, la H.R
Res 117 établie le cinq janvier 1950, et qui fut passée par le Congrès
au ministère de la défense. Le président Eisenhower ne savait que faire face à
cette situation. L’auteur eut pitié à constater avec stupeur comment ce grand
général se faisait mener à la baguette par des sionistes même pas dignes à lui
brosser ses bottes. Le président Eisenhower était toujours aimable envers
l’auteur. Ils s’étaient rencontrés lors d’un entretient que le président, alors
potentiel candidat démocratique à la présidence eut avec M. Thomas M.Watson Sr, fondateur de la
compagnie IBM. Ce dernier confia à
l’auteur qu’il croyait que le général Eisenhower en tant que civil ferait un
grand président. En tant que président le général Eisenhower vouait l’entière
fidélité aux sionistes, car l’ayant supporté et s’étant lié d’amitié avec lui
après la guerre quand il commença une activité politique en Allemagne. Les
sionistes cultivèrent ses faveurs après la deuxième guerre mondiale ; d’ores et
déjà ils savaient qu’Eisenhower serait entre leurs mains ce qu’est la pâte
d’argile entre les mains du potier.
Dés 1956, les pays du Moyen Orient subissaient des
changements au sein de leur gouvernement. L’occupation illégale de la Palestine
par les sionistes perdurait. Le Moyen Orient connaissait une démographie
galopante. Les sionistes décidèrent donc de stopper cette progression de la
population. Une fois de plus les sionistes demandèrent les faveurs du
président.
Le Liban était le cœur du monde politique arabe. Il fallait donc tuer le
mal dans l’œuf d’une société qui présentait les velléités susceptibles de
défier la domination sioniste. Les sionistes montèrent Eisenhower contre le
Liban, qui fut occupé par une armée de 14 000 hommes d’une part, et vit d’autre
part, la sixième flotte stationnée à son rivage. Pour rendre cette occupation
légale, les sionistes eurent la bénédiction du Congrès qui passa une résolution
commune identique à la résolution de la baie du Tonkin, permettant à la guerre
du VietNam de se jouer.
Eisenhower exauce
les voeux sionistes au Moyen Orient.
En engageant une
armée de 14 000 marines aidés de la sixième flotte à occuper le Liban,
Eisenhower lançait une forme de sérieux avertissements aux nations arabes qui
auraient l’envie de libérer la Palestine du joug sioniste. Eisenhower avait
probablement réuni les plus fins sionistes du secrétariat d’état, ainsi que de
la défense en passant par la justice, afin de formuler cette résolution
commune, utilisant un langage flou, intentionnellement indéfini afin de garder
caché son but. Cette résolution ne définissait pas son motif. Le but réel était
d’avoir une résolution commune, littéralement permettant à Eisenhower
l’utilisation de l’armée américaine sans avoir à recouvrir à une déclaration de
guerre votée par le Congrès. Tout cela ayant pour but de soutenir et
d’encourager les criminels à conserver leur butin.
Chaque mot prononcé par le président Eisenhower
défendant les escrocs occupants la Palestine était un pur mensonge s’ajoutant à
la situation catastrophique que connaît les USA aujourd’hui dans le bourbier au
Moyen Orient. Les sionistes américains ont étés capables de camoufler leur
illégale agression au Moyen Orient derrière la personnalité soldatesque du
président Eisenhower.
L’histoire détaillant la responsabilité du président
Kennedy à engager les USA dans la tragédie qu’elle vit aujourd’hui au Moyen
Orient, est des plus douloureuse.
Le 25 août 1960, Kennedy s’était dévié de la noble et droite trajectoire
qu’il avait suivie toute sa vie, pour s’orienter vers un chemin des plus
incertain. Kennedy ne pouvait plus se dérober des conséquences de sa trahison
envers les principes et valeurs dont il avait bâti sa vie, car étant tout
simplement tombé dans le piège tendu par les sionistes qu’ils l’avaient porté à
la présidence.
Le 23 août 1960, dans le bureau du sénat à
Washington, Kennedy encore jeune sénateur, donna à l’auteur une copie du
discourt qu’il devait faire à New York le 25 août suivant.
Dans cette copie, et parmi d’autres points il déclarait : « Israël
….ce que j’ai dit publiquement trois semaines auparavant, Israël restera….je
prédis la continuation d’Israël….qui perdurera et fleurira…les faveurs
spéciales du partis démocratique….c’était le président Truman qui reconnut
l’état d’Israël et qui lui donna un statut particulier dans les affaires
mondiales…pourrais je….mon espoir et mon serment à pouvoir continuer cette
tradition démocratique….si la structure démocratique a eu en quoi que ce soit un but…la Maison
Blanche doit prendre l’initiative ….l’intervention américaine
….maintenant….maintenant ne sera plus facile…je propose de la rendre claire
comme du cristal …nous agirons fermement ….nous nous tiendrons garant d’agir
utilisant toute force et détermination nécessaire ….même au risque d’une guerre
».
Kennedy
en tant que sénateur donna sa parole aux sionistes qu’en tant que président des
USA, il enverrait fils, maris et frères combattre en Palestine sous le drapeau
américain afin d’aider les rapaces sionistes à mieux agripper leur proie et à
mieux protéger leurs razzias.
En novembre 1946, l’auteur rencontra pour la première
fois le président Kennedy, alors que celui-ci fraîchement élu congressiste
rendit visite au bureau new-yorkais de son père au 230 Park Avenue. L’auteur
était alors en pleine conférence avec messieurs l’ambassadeur Joseph Kennedy et
son associé le juge Landis. Dans ce bureau privé, ces messieurs consultaient
l’auteur au sujet de la situation au Moyen Orient qui commençait déjà à se
corser aux Nations Unies.
Soudainement les portes du bureau privé s’ouvrirent et le nouveau membre du Congre entra.
Le membre du Congre Kennedy venait de Boston, à destination
de Washington, quand il déferla avec enthousiasme dans le bureau de son père.
L’ambassadeur Kennedy présenta au jeune congressiste tout d’abord l’auteur,
puis lui conseilla fortement de le prendre comme une source intarissable
d’information à tout ce qui a trait à la question palestinienne.
Kennedy fait le
serment aux sionistes qu’il les soutiendrait même au risque d’une guerre.
Toujours durant ce même entretient, l’ambassadeur Kennedy
discutât à ce sujet un court moment en présence de ces personnes ; puis le
congressiste Kennedy demanda la permission de disposer afin de reprendre sa
correspondance pour Washington. L’auteur invita le jeune Kennedy à dîner et il
accepta. Après ce dîner, le jeune Kennedy proposa à l’auteur de l’accompagner
dans le train pour Washington. Ils s’en allèrent tous deux pour
Washington.
Depuis ce jour de novembre 1946, jusqu’au 23 août
1960, l’auteur rencontra régulièrement et en d’innombrables occasions le
congressiste Kennedy dans le bureau new-yorkais de son père ainsi qu’à Washington. L’auteur fut ravi d’éclairer le
sénateur Kennedy sur la question palestinienne. Sans risquer d’exagérer et sans
aucun doute ; il eut à ce moment et même dans le monde, peu de gens mieux
informés à ce sujet que ne le fut le sénateur John Fitzgerald Kennedy. Durant
14 années l’auteur eut à partager et apprécier l’intimité du président Kennedy
qui lui a toujours exprimé toute son admiration pour les priorités qu’ils
s’étaient fixés. Le président Kennedy appréciait d’autant plus l’amitié entre
son père l’ambassadeur et l’auteur.
Kennedy senior avait été la
victime du chantage de Roosevelt le dissuadant de l’écriture d’un livre.
Roosevelt avait révoqué Kennedy Sr, alors ambassadeur américain à la court
Saint James à Londres, pour avoir fait circuler des entretiens tenus en 1938
avec Neville Chamberlain.
L’ambassadeur
Kennedy écarté politiquement pour avoir révélé les conspirations
sionistes.
En 1938, l’ambassadeur Kennedy rapporta à Washington les
révélations lui ayant été faites par Neville Chamberlain ; portant sur la
responsabilité partagée entre l’Angleterre et le sionisme international relatif
à l’engagement américain dans la
deuxième guerre mondiale. Chamberlain annonça aussi à l’ambassadeur que la
Grande Bretagne était totalement démunie et risquait énormément dans la
perspective d’engager une guerre contre l’Allemagne. Chamberlain se plaignit
entre autres que l’ambassadeur américain à Paris en l’occurrence William
C.Bullit urgeait Roosevelt de sanctionner l’Allemagne au sujet de son attitude
face à la Pologne dans la question du couloir polonais (Danzig corridor). De ce
fait, Roosevelt rappela l’ambassadeur Kennedy l’obligeant à garder le silence.
L’ambassadeur avait donc l’intention de retourner aux USA afin de révéler dans
un livre les vérités que l’opinion publique américaine devrait connaître. Dés
son retour aux USA, Roosevelt le convoqua à Washington le sommant d’annuler
l’écriture du livre en question. Après un entretient houleux et désagréable
d’une part, et son rappel forcé de Londres pour avoir osé révéler les propos de
Chamberlain au sujet des sionistes
d’autre part ; l’ambassadeur Kennedy ne rêvait plus que de voir un de
ses fils à la présidence américaine.
Le récit étayant la culpabilité du président Lyndon
B.Johnson pour avoir lié les USA à la situation désespérée dans laquelle elle
se trouve aujourd’hui au Moyen Orient, n’est pas longue histoire. Au fait, elle
commence à New York par un appel téléphonique reçut par l’auteur, du
congressiste Ed Gosset de Washington, le priant de le rejoindre au plus vite.
Ed Gosset représentait Amarillo Texas à la chambre des représentatives. Très
alarmé qu’il était depuis la veille de la confirmation d’Anna Rosenberg par le
comité interarmes du sénat à la haute fonction de vice-ministre de la défense,
sans aucun examen de jury. Etrangement,
le seul témoin apportant une déposition en qualité de jury examinant la nominée,
fut Anna Rosenberg la nominée elle-même. Cela en soi avait suscité des doutes
partagés par les dirigeants du pays.
Le congressiste Gosset alla avec l’auteur rencontrer le sénateur Johnson
à son bureau, lui expliquant la raison de leur visite. Sénateur Johnson était
alors membre du comité interarmes qui avait confirmé la veille même, la
désignation d’Anna Rosenberg. Le sénateur Johnson était très intéressé de
connaître les liens liants Anna Rosenberg et les communistes. Le sénateur
demanda l’aide de l’auteur dans la recherche détaillée qui ramènerait à
présenter un communiste de l’entourage d’Anna Rosenberg. Le jour même de son
retour à New York, l’auteur s’entretint avec son avocat Maître Hallam
Richardson au sujet de la requête du sénateur. Après quelques heures, Maître
Richardson produisit le nom de M. Ralph de Sola, communiste renommé dirigeant
une organisation communiste de documents photographiques en Amérique.
Après l’annulation de la confirmation d’Anna Rosenberg par le comité
interarmes, une seconde audience fut tenue pour la même nomination. Anna
Rosenberg attesta qu’elle était née en Hongrie et immigra en Amérique en 1912 à
l’age de 11 ans. Cette seconde audience
révéla des faits intéressants d’ailleurs ; en l’occurrence son étrange
nomination prolongée durant quatre ans. Lors des rencontres entre le sénateur
Johnson et l’auteur, la question palestinienne fut souvent soulevée. Le
sénateur y était très intéressé comme le fut d’ailleurs le comité interarmes du
sénat. L’occupation de la Palestine par les sionistes intéressait ce comité.
Lyndon Johnson
orchestra la guerre des six jours. Lyndon B.Johnson était vice-président avant
d’être élevé à la fonction présidentielle après la mort du président Kennedy.
En tant que président Johnson était au courant de la menace d’un conflit au
Moyen Orient qui verrait la participation des USA. Il connaissait parfaitement
le système de contrôle exercé par les sionistes en Amérique et au sein de
l’ONU. Un de ses proches amis à Washington était M. Abe Fortas, sioniste
invétéré que lui-même désigna à la cour
suprême. Le président Johnson savait inéluctablement qu’il en était en
violation de son serment officiel de Président des USA quand il fit passer des munitions de guerre dans
des pipelines afin d’armer Israël, tout ceci avec l’argent des contribuables
américains. En aucun cas il ne pourrait nier ces faits. Par le biais d’un ami
commun, l’auteur tint le président au courant sur les réels aboutissements du
conflit arabo-isrælite. Le président Johnson sera le premier à reconnaître sa
mauvaise foi au sujet du fait qu’il induit en erreur la nation américaine
concernant les vérités du conflit arabo-isrælite au seul profit des sionistes.
Il essaya même de justifier sa prodigalité à lapider l’argent des contribuables
pour respecter un prétendu engagement.
Le seul engagement méritant d’être honoré est celui fait au peuple américain et
à leurs intérêts. Selon les documents du Pentagone, il a failli à cette
mission. Le président Johnson ne fait absolument pas preuve de jugement et de
maturité quant à lapider les deniers de l’état ; jouant avec un argent
chichement gagné par les contribuables, tout cela dans l’unique intérêt d’aider
et d’encourager les escrocs sionistes à mieux détrousser leurs innocentes
victimes. Imaginons sa réaction si, par exemple, la Russie avait financé
l’invasion du Texas par les Mexicains ; expulsant les Texans de leurs maisons
qui n’ayant le temps d’emporter dans leur fuite que leur veste sur le dos,
survivant entre le désert d’Arizona et du Nouveau Mexique, vivant dans des
camps de réfugiés où des rations de nourriture de cinquante cents (un
demi-Dollar) par jour leurs seraient fournies. Les Mexicains ont plus droit et
de légitimité sur le territoire du Texas aujourd’hui que les sionistes d’Europe
de l’Est en ont sur la Palestine. Que serait sa réaction si la Russie finançait
avec $32 milliards, l’occupation par ces envahisseurs mexicains, leur
fournissant logistique et armement sophistiqué afin de tenir en respect les
autres quarante neuf états américains si l’idée leur prenait d’intervenir pour
stopper cette invasion du Texas. Occupation se faisant sans même avoir déversé
le moindre sou pour le moindre mètre carré aux propriétaires légitimes de cette
terre.
L’histoire détaillant comment le président Nixon
entraîna les USA dans le chaos où elle se trouve aujourd’hui dans le Moyen
Orient, serait très intéressante à connaître pour le peuple américain. D’autant
plus que cela est un acte récurant à chaque fois que le président Nixon octroie
aux occupants sionistes quelques $500 millions
du contribuable américain ; Nixon servirait t’il deux maîtres à la fois.
Nixon, comme les autre six maîtres de la déception, se rend coupable d’avoir
entraîné les USA dans un chemin sans issue où elle patauge aujourd’hui au Moyen
Orient.
A la fois président mais aussi avocat réputé, Nixon
ne pourrait en aucune mesure produire la moindre évidence d’un légitime
’’engagement’’ justifiant sa prodigalité à user et à abuser des millions de
Dollar des contribuables américains, pour
financer des brigands dans la possession permanente de leur razzia.
Serait ce un ‘‘engagement’’ fait par des politiciens à des sionistes contrôlant
les mass média. Président Nixon se dévalorisa lui-même, ainsi qu’il le fait à
l’administration américaine, pour qui il parle ; quand il se réfère à un
engagement américain parachevant l’occupation perpétuelle de la Palestine par
la Maffia sioniste. La générosité du président a atteint des proportions
épidémiques. Chaque 500 millions de Dollar des contribuables américains
renflouant les caisses du soi disant ’’ état israélien’’ n’est qu’un clou de
plus scellant le cercueil américain. Ces
sept maîtres de la déception déshonorent les principes les plus élémentaires et
les plus équitables sur quoi l’Amérique est bâtie ; sacrifiant les caisses de l’état d’un argent chichement
gagné par les contribuables, pour les offrir aux criminels sionistes. N’ont-ils
aucune conscience ni aucune dignité. Avons-nous vu une quelconque
reconnaissance américaine lorsque éclata les guerres civiles au Congo, au
Nigeria ou au Pakistan ou dans d’autres pays ayant décidés de s’autoproclamer
en vue de former un état indépendant issu d’une scission. Alors pourquoi avoir
reconnu ces envahisseurs clandestins, ces transfuges, ces déplacés, protégés et
financés par les sionistes. Si ces sept maîtres de la déception reflétaient
réellement l’attitude honorable des USA, ils ne trafiqueraient jamais avec de
tels criminels, de tels meurtriers,
comme ils le font avec les escrocs israéliens, constitués de déplacés
clandestins formant un prétendu état au dépend des palestiniens.
La main cachée
sioniste contrôle le vote américain à l’ONU.
L’unanimité
des membres de l’ONU, c’est-à-dire cent vingt cinq membres savaient que les USA
était aussi tordue qu’un tire bouchon quand il fallait reconnaître le soi
disant état d’Israël comme étant un état
légitime représentatif d’une population indigène. Toutes les nations du monde
comprendront à présent que seule les sionistes élisent le président des USA,
ainsi que les membres du Congre. Si ces sionistes n’avaient pas un si grand
contrôle monétaire il ne serait même pas en mesure d’élire un comité de
quartier. C’est dire quel niveau de corruption et de décadence a atteint la
politique américaine avant qu’elle ne s’écroule face à une nation plus
honorable, comme tombe de l’arbre le fruit trop pourri.
L’accomplissement
de la conspiration des Rothschild. Ce
pseudo état israélien étant tellement légal et oh ! combien légitime qu’il
engendre l’ironie et la dérision chaque fois que les USA doit -à la demande
d’Israël, cela va de soit- impérativement user de son veto contre toute
résolution votée par le conseil de
sécurité dans le but d’expulser ce soi disant Etat d’Israël. Indéniablement, ce
soi disant Etat se sent aussi à l’aise qu’un porc dans son purin quelles que
soient les sanctions votées contre lui. Seul un ignare douterait du fait
évident que les sionistes contrôlent la délégation américaine. Le vote de la
délégation américaine au conseil de sécurité n’est qu’une tragique comédie
jouée selon les instructions des sionistes. Si jamais une résolution serait
votée dans le but d’expulser le soi disant état d’Israël ; automatiquement les
USA voterait pour le contrecarrer et
donc l’annulerait. Le peuple
américain doit de connaître la vérité au sujet du conflit entre Arabes et
Israéliens. Sinon ils le feront au pris de leur vie, et au dépend de leur
existence. Les USA portèrent jadis le communisme responsable de tous les maux
de la Terre, ce fut là un bon bouc
émissaire pour les politiciens.
L’origine de tous ces malheurs, la cause de tous
les drames que vit le monde actuellement sont les
Rothschild. Pour le moment l’auteur se limite à exposer le lien des Rothschild
avec ce sujet, en l’occurrence la situation catastrophique du Moyen Orient.
L’auteur peut parler en toute connaissance de cause sur ce sujet auquel il a
été mis au courant directement par des membres même de la dynastie des
Rothschild de Londres et de New York entre autres. La richesse des Rothschild
ne peut être ni quantifiée ni estimée avec précision du fait de son
extraordinaire immensité. Toute fois la moindre évaluation évasive serait de
l’ordre de plusieurs trillions de Dollar, si jamais une telle valeur pouvait
être imaginable. La majeure partie de leurs richesses sont dans l’Extrême
Orient d’une part, quoique la richesse de leurs intérêts quelles soient en
Europe et dans l’hémisphère Ouest sont gigantesques. Malgré cela elles sont
inférieures à leurs richesses provenant de l’Extrême Orient. De ce fait une de
leur propriété majeure est l’accès à l’Extrême Orient et donc à travers la
Méditerranée qui la rend des plus vitale pour la Grande Bretagne. La
dynastie des Rothschild a plongé la Grande Bretagne dans de nombreux conflits
et guerres coloniales dans l’unique but de
préserver cet accès crucial à
l’Extrême Orient. L’histoire raconte ces faits. Le canal de Suez n’a pas été
construit par les Rothschild qui d’ailleurs ont tout essayé pour empêcher sa
réalisation. Il fut construit par la dynastie égyptienne des Khédives qui engagèrent
un ingénieur français De Lesseps. Au début les Rothschild refusaient d’y
investir le moindre sou dans la compagnie qui obtint le projet de
réalisation.
Le canal de Suez fut achevé 1869 et dés le premier jour un grand
succès.
Les Rothschild purent extorquer frauduleusement quarante pourcent des
parts d’intérêts qui à leur goût semblait être insuffisant comparé à la valeur
rapportée après seulement deux ans de service. Ils décidèrent donc qu’il
fallait le contrôler totalement afin d’assurer leur accès en Extrême Orient.
Sans aucune cause ni provocation et encore moins une explication, les Rothschild
lancèrent l’armée britannique occuper l’Egypte, exactement comme une nation
défaite serait occupée par son vainqueur. Les Britanniques dirigèrent des lors,
tout l’enseignement, les banques, le transport, le système monétaire. L’Egypte
cessa tout simplement d’exister, à part en nom. Le canal tomba sous contrôle
total des britanniques. Au début l’Angleterre opta pour une concession lui
permettant de le garder pour quatre vingt dix ans. Mais plus le temps s’écoulait plus le canal
s’avérait être important plus les Rothschild y dépendait et s’effrayaient de le
perdre. Ils n’eurent pour unique rêve qu’une solution à la fin des quatre vingt
dix ans de concession qui devait expirer en 1969 pour retourner à l’Egypte
comme stipulé. La Grande Bretagne dépensa d’immenses fortunes et fit couler
beaucoup de sang lors de nombreuses guerres, juste pour conserver et profiter
de ce canal. Les Rothschild savaient qu’un jour ou l’autre, l’Egypte serait
libre de garantir une autre concession à une puissance rivale de l’Angleterre,
comme la France, l’Allemagne ou bien la Russie. Les Rothschild craignirent donc
l’utilisation du canal par une nation n’ayant pas que des bonnes intentions
vis-à-vis de la Grande Bretagne ou bien même l’utilisation à des fins
politiques.
La fortune mondiale
des Rothschild risquerait la faillite sans le contrôle des sionistes au Moyen
Orient.
Toute la fortune de la dynastie des Rothschild ainsi que la
suprématie britannique se voyaient diminuer en Extrême Orient en cas
d’interruption du contrôle britannique sur le canal. Anticipant les évènements,
les Rothschild planifièrent leur fortune sans le Canal. En
1918, à la fin de la première guerre mondiale, les Rothschild avaient déjà
entamé leur plan qui est très simple d’ailleurs. Avec l’accord de Londres de
1916, la Grande Bretagne prévoyait de céder la Palestine aux sionistes juste
après la guerre. Les sionistes d’Europe de l’Est étaient sans le sou, rendant
l’occupation de la Palestine un véritable cauchemar pour eux. Ainsi les Rothschild à Londres
promirent aux sionistes une aide financière illimitée leur permettant de
développer la Palestine, mais sous condition que dés l’octroie de la Palestine
aux sionistes serait effectué, ces derniers devraient postuler pour rejoindre
l’empire britannique en tant que membre. Les Rothschild planifièrent la
construction d’un autre canal en Palestine ; d’Ashkelon sur la Méditerranée
jusqu’à Aqaba sur le golfe d’Aqaba. Ce canal serait une construction moderne
formée de structure d’acier et de béton, comportant deux lignes de navigation.
Il serait de ce fait en territoire
britannique à perpétuité, jouissant des avantages d’être défendu par la
Grande Bretagne et d’être reconnu comme
un membre de l’empire britannique (Commonwealth.)
La Grande
Bretagne occupa la Palestine de 1921 à 1948 sous mandat de la Ligue des
Nations. Durant cette même
période, il eut la décomposition de l’empire britannique. Entre temps les
sionistes avaient établi un état sioniste en Palestine et l’empire britannique
avait cessé d’exister. La Palestine et les sionistes ne pouvaient donc plus
postuler pour rejoindre l’empire britannique, celui-ci n’existait plus. Les
Rothschild durent donc changer de stratégie. Désormais, ils étaient détermines
à obliger la Grande Bretagne à octroyer la Palestine aux sionistes pour en
faire un état souverain. L’idée des ’’Nations Unies’’ était alors une
réalité et les Rothschild s’appliquèrent à faire admettre l’état souverain
sioniste à l’intérieur des Nations Unies. L’ONU donc, aurait du procurer à la
Palestine les mêmes avantages qui eussent étés procurés jadis par la Grande
Bretagne. Si l’état souverain sioniste pouvait être admis aux Nations Unies le
futur de la Palestine serait assuré. Les Rothschild ne savaient pas quoi faire.
En octobre 1916, entra en scène la fameuse
organisation sioniste internationale ; au même moment où la Grande Bretagne
envisageait la capitulation face à l’Allemagne. L’organisation sioniste
internationale et le British War Cabinet conclurent l’accord de Londres de
1916.
Le 6 avril 1917, les USA entra donc en guerre contre
l’Allemagne faisant la joie et l’émerveillement de la dynastie des Rothschild.
Autour
de juillet 1917, la défaite allemande se précisait suite à l’entrée en guerre
américaine. Les
Rothschild commencèrent à cultiver l’attention et l’amitié de M. Chaïm Weizmann.
L’organisation sioniste internationale devait donc être reconnue ; les
Rothschild commandèrent un chapeau ’’haut de forme’’ et un costume à l’adresse
de Chaïm Weizmann qui fut traité des lors en véritable chef d’état comme s’il
était déjà à la tête du gouvernement palestinien, ce qu’il devint. Les
Rothschild redoublèrent d’intérêt dans leur plan de financement du mouvement
sioniste en Palestine ; en contre partie que leur soit laissée la construction
de leur canal à travers le Palestine.
Récapitulons
toutes les étapes depuis le début. La Grande Bretagne était certaine de
battre l’Allemagne, elle était aussi d’accord pour octroyer la Palestine aux
sionistes pour les récompenser d’avoir fait participer les USA contre
l’Allemagne. Le chaînon manquant de ce développement était l’existence en
Palestine d’un état sioniste. Les Rothschild financèrent le déplacement
ethnique de 600 000 juifs Ashkenazi d’Europe de l’Est en Palestine, et
s’engagèrent à évacuer jusqu’au dernier des deux millions de soldats de l’armée
du Général Allenby hors de Palestine.
Le 18 Mai 1948, en collaboration avec le président
Truman, 600 000 immigrants clandestins juifs armés jusqu’aux dents, entamèrent
l’expulsion de 1 350 000 musulmans et chrétiens palestinien totalement désarmés
et sans défense ; et dans la même foulée de cette invasion armée, ils
déclarèrent l’état d’Israël.
A présent les Rothschild étaient satisfaits. La
dernière étape restait de forcer les pays arabes à reconnaître cet état
fantoche. Les Rothschild commencèrent leur dernière mise en scène par
construire l’actuel oléoduc d’Ashkelon sur la Méditerranée jusqu’à Aqaba sur le
golfe d’Aqaba, longeant de ce fait leur futur canal moderne. La situation du
Moyen Orient n’est rien d’autre que le résultat des efforts des Rothschild à
sécuriser et maintenir en permanence leur accès vital à l’Extrême Orient. Cette
aberration de la notion de ’’rapatriement’’
du ’’peuple élu de Dieu’’ vers leur
’’terre promise ’’ s’avère être
un des plus grands mensonges qu’ait connu l’humanité. Le but unique des
Rothschild était de contrôler et de sécuriser en permanence leur accès vital en
l’occurrence le canal de Suez à leurs vastes ressources naturelles de l’Extrême
Orient.
L’auteur a eu la patience et le temps d’informer sept
présidents américains sur la vraie raison de l’agression juive envers les
Palestiniens. Ces sept maîtres de la déception furent tous sensibilisés par
l’auteur sur la véritable cause de la tragédie palestinienne, engendrant une
des plus grandes injustices de l’histoire. L’auteur dépensa une fortune pour
informer les membres du Congres, les dirigeants politiques et les industriels américains, exposant toutes les
évidences, fournissant tous les documents et preuves écrites corroborant le
moindre propos ou déclaration faites à ce sujet. Cela crève les yeux que
l’Amérique et le monde soit rendu à dépenser des milliards de Dollar pour voir
les Rothschild protéger constamment leur accès vital à leurs richesses
illimitées d’Extrême Orient. Le plus grand danger à venir est que ce conflit
puisse dégénérer en une autre guerre mondiale.
Si le sionisme international décidait d’engager le monde dans une autre
guerre mondiale rien que pour établir
’’le peuple élu de Dieu’’ dans
sa ‘‘terre promise’’ gouvernant le monde à partir de la Palestine
; alors il est temps de révéler au monde la raison de cette comédie.
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